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Un tendre au revoir...
Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, couple, amour, hsoumis, fdomine, intermast, Oral pénétratio, hgode, uro, sm, attache, gifle, policier,
... du tourisme en Californie aux frais de la princesse. Et pis au fait ? Pourquoi ne demande-t-il pas la protection de la police ? Il s’est sûrement fait envoyer péter par les flics. Deux heures après le décollage, huit hommes se lèvent simultanément. Je vois que ceux-ci sont armés de pistolets en polymère – on n’arrête pas le progrès. Bon bah, tant pis pour mes vacances, je vais devoir y mettre mon grain de sel… On entend quelques cris vite étouffés par des menaces. Deux des bandits vont dans la cabine de pilotage, pendant que les autres nous enlèvent nos sacs. Deux coups de feu d’une étrange sonorité se font entendre : ils viennent de tuer le pilote et le copilote de l’avion, les salauds ! Mon client m’a dit d’agir seulement quand l’avion se sera posé à terre. Je suis désarmé. Je pourrais peut-être maîtriser un de ces connards, mais ce n’est pas la solution car je me ferais tuer tout de suite. Je vais donc attendre l’atterrissage – enfin, j’espère qu’ils en ont prévu un… – comme me l’a ordonné le milliardaire – mais bon, je fais ce que veux. Trois quarts d’heure plus tard, mes oreilles m’indiquent que l’avion est en train de descendre. Je regarde à travers le hublot, je vois une île pas très grande, apparemment déserte, avec une piste d’atterrissage perdue dans une végétation tropicale. Cette charmante île des caraïbes est notre destination finale. Je me demande comment on a pu atteindre ce lieu sans avoir la chasse américaine sur le dos… L’avion atterrit et est brusquement ...
... arrêté par un filet situé au bout de la piste. Les malfaiteurs nous ordonnent de descendre à terre. Ils sont rejoints par d’autres hommes – j’en ai compté vingt-huit en tout (mais je peux me gourer) – qui nous emmènent dans des souterrains et nous enferment dans une vaste prison, contenant des caisses à provisions. Mon client est emmené ailleurs pendant que nous sommes dépouillés de nos objets de valeur. Heureusement, j’ai pu voir où ils ont déchargé nos sacs de voyage car, sans tous mes « gadgets », je ne pourrais pas faire grand chose. Ils s’activent une petite heure dans les environs d’un air détendu, en discutant entre eux. Peut-être se demande-t-il ce qui est prévu pour la suite… Mais non : ils le savent déjà ! Tout a dû être minutieusement préparé. Puis ils partent en laissant deux gardes devant notre cellule. Je me demande si je suis à la hauteur pour cette mission devenue assez corsée : faire sortir une centaine de personnes d’un bunker est tout à fait autre chose que de sauver la vie d’un gars lors d’une attaque à main armée ! Je suis désespéré car je ne sais que faire, d’autant plus que j’ai eu la preuve que les bandits sont prêts à tout. Mais ce n’est pas le moment de paniquer. Je dois trouver un plan solide, sans failles. Je réfléchis à la manière de m’y prendre. Dois-je y aller tout seul ou demander à quelques hommes de m’aider ? Je ne sais quelle solution choisir : risquer la vie d’innocents – qui seront peut-être tués par la suite, cela dit – ou pour ainsi dire ...