Les outrances d'un prêtre
Datte: 03/06/2018,
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... temps, au cours de son sommeil, Été abusé par ses filles adolescentes Qui l’avaient enivré, et avant son réveil S’inséminaient avec la verge turgescente.(10) Elle Alors, donc, procédez à votre sacrement : Puisqu’il faut avaler maintenant des couleuvres, Il ne faudrait pas que ce soit médiocrement. Ne me ménagez pas : accomplissez votre œuvre. Prêtre Oui, effectivement, il faut vous mortifier, Abaisser cette chair pour que esprit soit chaste Et renaisse aussitôt, dans la nuit, vivifié, Débarrassé enfin des luxures néfastes. Il faut que la souffrance évacue le péché. Demeurez à genoux, présentez bien vos fesses. Allons, car l’heure avance, il faut nous dépêcher. Je vais dire pour vous uniquement la messe. Il fouette les fesses de la jeune femme. Sentez-vous ce fouet ? Il vous est rédemption. C’est par votre douleur que vous deviendrez sainte. Il expurge de vous toute la corruption Horrible du péché : gardez-donc les mains jointes. Pour atteindre le ciel il faut mater la chair : L’idéal religieux exige qu’on méprise L’épine d’affliction où notre orgueil se perd, Permettant à l’esprit de garder la maîtrise. Pensez-donc à Jésus qui souffrit sur la croix Après que les soldats cruels le flagellèrent. C’est pour cela qu’au ciel son Père l’a fait roi. Soyez docile afin, vous aussi, de Lui plaire. Chaque coup de fouet vous retire du mal : Il faut aimer souffrir pour être une chrétienne. L’endolorissement devient paroxysmal. Offrez votre tourment pour que Son règne vienne ! Exacerbez ...
... en vous cette sainte douleur ! Vous devez adorer Jésus dans la souffrance. Apprenez que le mal a beaucoup de valeur. Chacune de vos plaies fait votre délivrance. Restez docile et sans faire un seul mouvement, Trouvez la gloire en la totale obéissance. Priez, gardez vos mains unies jointivement Afin de retrouver votre ancienne innocence. À lui-même : Le claquement du cuir sur le dos rose et frais, La douleur consentie d’une femme docile, Et le tendre épiderme à présent balafré Font ma joie infernale où mon esprit jubile. Elle se laisse faire. Ah ! J’aime ce moment ! Peut-être parviendrai-je à l’orgasme sadique Comme on lit dans les livres à l’index, les romans Sulfureux que l’Église aux chrétiens contre-indique ? Elle C’est un bourrèlement qui est certes accablant, Mais qui donne la joie car je vous suis soumise. Cette émotion étrange est un plaisir troublant. Je sens la sainteté grâce à votre entremise ! Pourriez-vous s’il vous plaît augmenter ma douleur Par la crucifixion réelle et véritable ? Je veux connaître aussi l’affliction et les pleurs ; Vous perceriez de clous mes membres misérables. Ainsi vous me verriez dans la déréliction Et l’avilissement dans l’atroce souffrance, Parce que la sainteté est seule ambition. Cela plaira à Dieu en toute transcendance. Scène 3 Le prêtre, qui parle à lui-même – c’est à dire aux seuls spectateurs – et la jeune femme,qui se laisse clouer sur une croix. La scène est onirique : pour souligner que rien n’est réel,on peut utiliser lumière ...