Les outrances d'un prêtre
Datte: 03/06/2018,
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... milieu de ce stipes ;(14) Pénétrant ton anus, le pervers petit pieu Se glissera ainsi jusqu’au fond de tes tripes. Ce serait excitant : je te verrais bander Jusqu’à la mort par une action sur ta prostate. Sans vouloir cependant ici te commander, C’est mieux que le poison qui a occis Socrate. Je me caresserais en te voyant mourir, En allant à l’orgasme alors que tu expires, Sachant que j’aurais pu des années te chérir. Mais des deux destinées tu choisirais la pire. J’aime à parler ainsi, car ces insanités, Toi, tu les imagines avec moi dans un rêve. Souviens-toi que tu as pris la virginité Qu’ici je t’ai offerte : une ère qui s’achève. Refuse si tu veux l’amour qui t’est offert, Retourne à tes sermons : je verserai des larmes, Et toi tu répandras la peur de Lucifer, D’un Dieu ressemblant à un céleste gendarme. Où est-il cet habit ? Car je te vois tout nu, Un phallus magnifique au milieu de tes cuisses. Il indique midi, et mon doigt ingénu Joue pour que ton désir demeure et ne s’enfuisse. Reste-t-il quelques forces à l’organe viril Pour que ma tendre main doucement le masturbe ? Que j’aime à contempler en dessous du nombril Une verge tendue que des doigts je perturbe ! Courage, mon ami : sois fort et soit vaillant : Je veux que tu m’arroses encore du liquide. C’est ta vie que tu dois gagner en travaillant, Dans la lubricité qui doit être ton guide. Prêtre Ta main me caressant tue toute volonté. Mon trépas surviendra bientôt de l’épectase. Non, je ne pourrai pas, c’est fini, ...
... surmonter Ce mouvement qui fait que tout mon corps s’embrase. Je me mets à genoux, dénudé, à tes pieds : C’est une reddition sans condition aucune. Le passé est passé : il me faut expier, Et je ne garderai pas pour toi de rancune. Vois comme j’éjacule à tes jolis orteils. Oh ! Que la Femme est douce, aux exquises canines ! J’ai dormi tant d’années ! Mais voici le réveil : Je vais m’abandonner aux grâces féminines. Elle Toi, tu es bien joli, soumis ainsi qu’un chien Quémandant des câlins aux pieds de sa maîtresse. Tu n’es plus à l’Église à présent : tu es mien. Dorénavant c’est moi qui serai ta prêtresse. Les années d’abstinence où le dur célibat T’a contraint à stocker des litres de semence Sont finies : aujourd’hui, j’ai gagné le combat ; Il est temps de combler ta frustration immense. Prêtre Je t’honore à genoux, général victorieux, Me ferai le soldat de ta concupiscence, Conquis, obéissant à ton désir furieux : Tu disposes de moi, je t’en donne licence. À force de fournir, ma prostate fait mal, Mais mon désir n’est pas rassasié encore. Je veux aller au bout du rut paroxysmal Tandis que ma bouche à tes dix orteils picore. Veux-tu me traire encore et aller jusqu’au bout Du bout de ma réserve ultime de semence ? Pour toi je resterai toute la nuit debout Jusqu’aux frontières extrêmes où guette la démence. Je ressens le besoin de me faire punir Dans le but d’expier d’une façon charnelle. Inflige des tourments jusqu’à n’en plus finir, Toi que j’ai confondue avec la douce agnelle. ...