On rase le passé
Datte: 03/06/2018,
Catégories:
f,
ff,
asie,
vacances,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
Oral
fdanus,
aliments,
init,
lettre,
initff,
... avait encore un tas de graisse poilue à terminer, elle m’a rapidement guidée au jacuzzi pour que je me détende un peu. Le temps d’ôter le peu que j’avais sur moi et de me glisser dans l’eau tiède et bouillonnante, elle me déposait discrètement une coupe de champagne à côté de moi. Quelles sensations, ces bulles qui me pénétraient de partout, bulles de champagne en bouche, bulles frénétiques ailleurs. Il suffisait que je me bouge un peu pour qu’elles aillent de mes cuisses à mon clitoris, de mon clitoris à ma vulve, de ma vulve à mon anus, de mon anus à toute ma colonne vertébrale. C’était bon. Après un long moment de ces va-et-vient, j’ai doucement ouvert les yeux pour constater que j’avais une spectatrice devant moi qui s’est mise à applaudir le spectacle. C’était Vanille et, comme le spectacle lui plaisait, je lui ai offert le grand show, me laissant de plus en plus aller aux caresses humides. Il m’a suffi d’écarter légèrement mes lèvres pour que les attaques sur mon clitoris se fassent plus pressantes et que je jouisse tout entière. — Tu t’améliores, fit remarquer Vanille. Elle s’est levée en laissant son paréo au sol et, tout en me fixant droit dans les jambes, a fait le tour du jacuzzi. En arrivant près de ma tête posée sur le rebord, elle a passé sa jambe au-dessus de moi. À mon tour de profiter d’un spectacle unique. Ses longues jambes de part et d’autre de ma tête, avec au sommet sa petite chatte et le bas de ses seins. Tout doucement, elle s’est agenouillée, ses ...
... lèvres offertes s’approchant des miennes tendues, prêtes à embrasser, à mordre. Elle s’est arrêtée juste au-dessus, à portée de langue. — Un peu de champagne ? Elle s’est versé un peu du précieux liquide sur la pointe des seins. L’alcool a suivi son inexorable chemin, glissant sur sa poitrine, noyant son nombril, faisant frémir son ventre pour venir perler ses fins poils pubiens. Offert comme cela, ce grand cru avait un goût spécial et je me suis empressée d’y goûter. Quel arôme, quelle robe, comme cela pétillait en bouche ! Moi qui avais fait des études d’œnologie, je pouvais l’affirmer : c’était du "Veuve Clito", un millésime. J’en ai bu quelques coupes, c’était si bon. Même Vanille qui laissait tout couler sur sa gorge, sur ses seins, sur son mont de Vénus, trouvait ça bon. Mais l’alcool a ses effets. Après quelques lapées, il me fallait quelques amuse-gueule. Je me suis donc précipitée sur la moule qui m’était offerte. D’un coup, je l’ai mordue, léchée, sucée avec ma langue devenue folle. Vanille gémissait, ses mains enfouies dans mes cheveux, pressant ma tête contre son sexe. Mes mains se sont jointes au ballet infernal, l’écartant, la pénétrant. Elle m’avait montré qu’elle aimait le toucher anal, alors je ne lui ai pas laissé le temps de se pénétrer elle-même et ma langue est allée l’envahir tandis que mon nez s’imprégnait de ses odeurs intimes. Je l’entendais gémir, crier des mots en chinois qui lui venaient de loin, de très loin. Puis elle a pris fermement ma tête entre ...