On rase le passé
Datte: 03/06/2018,
Catégories:
f,
ff,
asie,
vacances,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
Oral
fdanus,
aliments,
init,
lettre,
initff,
... les mains, m’a reculée un peu et a crié, les yeux en feu : — Regarde, je jouis ! Devant moi, à quelques centimètres, je voyais sa chatte se dilater et de longs jets en sortir. Sa jouissance m’inondait le visage. Elle éclatait en jets puissants et chauds. Extraordinaire ! Je me léchais le visage quand elle est venue m’embrasser longuement pour partager le goût de l’amour. Puis elle s’est écroulée à côté de moi, comme abattue, morte. Devant mon air étonné, elle m’a dit simplement : — Éjaculation féminine, je t’apprendrai. J’ai versé le reste de champagne sur ses seins dont les tétons étaient étonnamment dilatés et sensibles et sur ses petits poils ébouriffés et je l’ai bu pour nous rafraîchir. La suite s’est passée sur un petit nuage rose. Tendres baisers dans un jacuzzi partagé, quelques caresses, un peu de champagne. La douche est venue après. Vanille était une experte et je me suis laissé entièrement faire quand elle s’est mise à me savonner entièrement sans une seule fois utiliser ses mains. Son corps entièrement couvert de savon moussant, elle s’est mise à me masser. J’étais debout. Son entrecuisse m’a savonné les mollets, les genoux, les cuisses. Son entrejambe a tendrement massé mes pieds. De son ventre et de ses seins elle s’est mise à couvrir mon dos, mon ventre, ma poitrine. Quel plaisir de sentir ses seins devenus si glissants sur mes fesses et sentir son épaule me masser le sexe. Tout mon corps s’est retrouvé brillant de savon, de la tête aux pieds. Ensuite elle ...
... m’a douchée, méticuleusement séchée, coiffée et enfin maquillée avec un fard légèrement bleuté qui m’allongeait les cils et qui faisait ressortir mes boucles pubiennes. Nous avons ainsi passé plus d’une heure nues dans sa salle de bains à nous occuper l’une de l’autre. Qui peut mieux s’occuper et comprendre une femme qu’une autre femme ? La découverte de son corps m’aidait à découvrir le mien avec ses secrets, ses trésors les mieux gardés. Elle a amené un petit plat d’olives, en a mis une en bouche et l’a fait glisser dans la mienne. — Tu as faim ?— Un appétit d’ogre ! lui ai-je répondu en lui mordant goulûment les fesses.— Viens, on sort. Nous étions presque prêtes, ne restait plus qu’à nous habiller. — Mets ça, avec ta poitrine, ça t’ira mieux qu’à moi. Et elle m’a donné un genre desinglet très serré et très échancré qui couvrait ma poitrine tout autant que mon haut de string après avoir rétréci au lavage. Au plus je le descendais pour cacher ma petite fente, au plus je découvrais mes seins. Cruel dilemme ! Le bleu du tissu allait parfaitement avec celui de mon fard, ce n’était pas très pudique mais ça me plaisait énormément, surtout avec la large ceinture qu’elle a glissée sur ma taille. Je lui ai quand même fait remarquer qu’on n’était pas dans un camp de nudistes mais elle a simplement répondu qu’on y était presque et que de toute façon, dans les camps de nudistes, les gens en ont marre de voir des chattes à longueur de journée mais que quand, le soir, ils pouvaient ...