De Julien à Julie (11)
Datte: 21/07/2017,
Catégories:
Transexuels
De Julien à Julie – 11 Au petit matin, Patrick m’appelle. Il n’est pas encore couché, ils ont fait la fête le soir et la nymphomane l’attend. Il a réussi à s’éclipser quelques minutes pour me téléphoner : — Cette nuit va être chaude. Elle veut que nous baisions toute la nuit — Décidément, elle ne te laisse plus respirer — Je crois qu’elle se fait draguer par un jeune collègue — ça te permettrait de souffler un peu et de me revenir en pleine forme — J’y compte bien ! À propos, il y a le plagiste qui a remarqué que je m’intéressais à lui et surtout à son entrejambe. Il m’a abordé pour me proposer de choisir un matelas dans sa cahute, mais c’était un prétexte pour me palper les fesses. Je l’ai laissé faire, même quand il a glissé son doigt sur mon œillet. Me constatant docile, il m’a proposé de le rejoindre sur une plage à coté, ce soir. — Humm ! Tu es en manque de bites, c’est ça ? — Oui ! Mais je serai bien servi, je l’ai palpé un peu et il a un sacré paquet. En plus, il m’a parlé de quelques copains à lui, si je le voulais… J’hésite à accepter. — Mon chéri dans un gang-bang, on aura tout vu ! — C’est une occasion d’essayer. Je t’envoie la photo du type, tu me diras si tu m’autorises à y aller! — D’accord, mon amour, fait attention de te protéger quand même ! Tu me ramèneras toutes les capotes ! Je lui parle ensuite de son bar, de ma conquête féminine de la veille et de quelques factures qui sont arrivées. — Tu te débrouilles très bien ma chérie. Et cette Carole, elle te ...
... plaît ? — Elle a du charme, mais elle est, visiblement, en manque de tendresse. — Et tu vas lui révéler ta particularité ? — Le plus tôt sera le mieux, tu ne crois pas ? — Alors, amuse toi bien ! Nous prenons congé, en nous susurrant de nombreux mots d’amour. Je me sens ragaillardie pour la journée. A la fac, quand j’arpente le couloir, je remarque Carole en discussion avec mon professeur d’économie, ce coquin qui n’ose plus m’adresser la parole, depuis que je l’ai masturbé au bar. Le bruit de mes hauts talons attire leur attention et je sens des projecteurs sur ma personne. Si Carole cherche mon regard, le prof me passe au scanner, en s’attardant sur ma poitrine. En les croisant, je leur adresse un sourire poli, mais je sens bien leur regard s’éterniser dans mon dos. Par provocation, je m’arête une seconde et me penche pour lisser mon bas au niveau du mollet. J’ai conscience d’offrir à leur vue mon postérieur, mais fais mine de ne pas m’en rendre compte, et repars négligemment. Les cours finissent plus tôt aujourd’hui, aussi j’en profite pour faire un détour afin d’aller au cabinet de mon endocrinologue. Je n’ai besoin de rien, sauf espérer voir Katia. Elle est là ! Mais occupée avec une « patiente » avec un fort accent brésilien,qui râle contre le retard du docteur. Je tombe mal ! En plus, la salle d’attente est presque pleine. Katia agit avec beaucoup de professionnalisme pour calmer la tempête et heureusement arrive le tour de la patiente. Le toubib me lance un petit sourire, ...