De Julien à Julie (11)
Datte: 21/07/2017,
Catégories:
Transexuels
... mais je l’en dissuade, avant de la faire s’allonger sur le lit. Je trouve ça excitant, les souliers dans le lit. C’est ma tante Sophie qui m’a fait découvrir ça. Depuis, je le fais fréquemment avec Patrick, et lui aussi apprécie. -Tu es belle Carole ! — Toi aussi, Julie. Fais de moi ce que tu veux ! Je m’abandonne à toi … — Pas question ! C’est moi qui vais m’abandonner à tes caresses ! Si je souhaite qu’elle ait l’initiative, c’est essentiellement pour la dégourdir, lui enlever sa gêne et qu’elle puisse profiter de mon corps, comme d’autres ont pu profiter du sien. Comme elle hésite, je lui confie mon arrière pensé et elle me regarde avec étonnement. — Mais enfin, Julie ! — Ne discute pas ma chérie, je suis l’objet de tes désirs, n’est-ce pas ? Alors, profites-en ! Fais ce que tu veux … Que je lui dise « ma chérie » semble réveiller ses sens et la fait se concentrer sur mon corps. Timidement, elle se saisit de mon membre et le presse maladroitement, mais lui redonne quand même vigueur. — Julie, je suis désolée ! Je ne sais pas m’y prendre. Mes partenaires se lassaient de mes gestes et préféraient me sauter sans préambules. Juste quand ils en avaient envie. Souvent, j’ai eu mal lors des rapports, quand ils me pénétraient. — Ne t’en fait pas, je vais te montrer ce qu’il faut faire ! Et pour sucer ? Tu n’en sais pas plus, n’est-ce pas ? Carole acquiesce, comme désolée de son ignorance. Je lui propose une leçon concentrée de techniques, tant pour me masturber que pour me ...
... sucer. Le plus difficile étant de réussir à lui faire vaincre son dégoût de porter un phallus dans la bouche. Constatant l’impact de ses caresses sur mon excitation, elle prend davantage confiance et plaisir à ses gestes. Elle me pompe avec force tout en pétrissant ma poitrine. Je lui glisse un doigt et entre dans sa chatte brûlante. Elle ajuste sa posture et me laisse explorer ses profondeurs. — Hum Carole, comme c’est bon ! Comme tu t’y prends bien ! Ne t’arrête pas ! Mes paroles la stimulent tant, qu’elle ne m’écoute plus. Prise de frénésie, elle me chevauche et s’enfonce mon vit au plus profond d’elle. Un soupir ou plutôt une plainte accompagne cette pénétration. Et si elle geint, ce n’est pas de douleur. Sa cyprine abondante témoigne de son désir. Quand elle ré ouvre les yeux, son regard se pose sur ma poitrine, puis sur mon visage. Elle se penche pour un baiser et entame de lents mouvements de bassin pour s’auto pénétrer. Quand elle se redresse un peu, mes lèvres cherchent son sein pour le téter. Elle se met alors au trot pour monter et descendre sur mon membre, alors que j’ajuste mes coups de reins pour des poussées plus profondes. Je ne sais pourquoi, mais la situation m’excite terriblement et j’éprouve une grande difficulté à me retenir d’éjaculer. Ses soupirs et ses petits cris croissants me font monter la sève ! Quand son orgasme se déclenche, s’en est trop ! Je me libère en elle, puissamment. Nous restons enlacées un long moment. Le sperme qui s’échappe de sa vulve ...