À cocu, cocu et demi
Datte: 07/06/2018,
Catégories:
2couples,
extracon,
cocus,
jalousie,
dispute,
noculotte,
intermast,
Oral
pénétratio,
champagne,
... Ensuite elle voulut rentrer chez elle, refusant mon invitation à passer la nuit ensemble. — Demain, il faut que je me lève de bonne heure, mon chéri. J’ai une grosse journée. Je préfère rentrer pour dormir. Mais demain soir, ta petite Nathalie sera toute à toi ! Le lendemain soir je dînai chez elle et après nous fîmes l’amour. Elle m’entraîna dans son lit et se montra une amante particulièrement passionnée. Elle voulut tout : la fellation, le cunnilingus, la levrette, le soixante-neuf, et ce soir-là je fus tout à fait à la hauteur. Mon endurance retrouvée me permit de lui offrir deux ou trois orgasmes dans la même soirée. Repus d’amour, nous nous endormîmes serrés l’un contre l’autre et ce fut la première nuit que nous passâmes ensemble. Notre première nuit d’amour. Le lendemain au réveil, pris d’une puissante érection matinale – comme cela arrive souvent à tous les hommes – je me montrai très entreprenant avec Nathalie. Réveillée par mes caresses coquines, elle se fit tout de suite très chatte : — Humm… Baise-moi encore, mon chéri, me chuchota-t-elle dans un demi-sommeil. Et nous remîmes le couvert, tous deux aussi excités que des jeunes amoureux. Après le petit déjeuner, nous nous séparâmes sur un chaud baiser. Nous avions l’un et l’autre le cœur léger, heureux d’avoir vécu une nuit fabuleuse et pensant déjà à notre prochain rendez-vous d’amour. Mais nous étions alors vendredi matin, dernier jour de la semaine. Acte III – La réconciliation Quand je rentrai à la maison le ...
... soir après ma journée de travail, j’y trouvai Carole, déjà revenue de son prétendu stage. Elle me sauta au cou et colla ses lèvres contre les miennes. — Tu m’as terriblement manqué, mon chéri, me mentit-elle avec un grand sourire. Je suis tellement heureuse de te retrouver. Je n’eus pas le temps de répondre qu’elle colla de nouveau ses lèvres aux miennes pour m’embrasser avec fougue. J’eus d’abord très envie de refuser ce baiser.« Comment peut-elle jouer ainsi la comédie alors qu’elle vient de me faire cocu ? » pensai-je en moi-même. Puis je me dis que j’avais largement eu ma vengeance et que je n’avais donc aucune raison de lui en vouloir. Alors je décidai de m’amuser de la situation, et quand elle relâcha son étreinte je l’interrogeai sur sa semaine. — Alors, dis-moi, ça c’est bien passé ton stage ?— Oh tu sais, ça n’était pas passionnant, dit-elle évasivement.— Ça t’a intéressé au moins ? insistai-je.— Oui, oui…— C’était sur quoi ? Elle hésita une seconde, comme si elle avait déjà oublié le sujet de son stage. — Euh… c’était sur la vente de contrats… enfin, c’était un stage commercial, quoi !— D’accord. Et il a fait beau à Paris ? continuai-je plus facétieux que jamais.— Oui, je crois, répondit-elle un peu rapidement. Puis elle se reprit : je veux dire, on était tout le temps enfermés, alors on n’a pas trop vu le temps qu’il faisait.— Oui, je comprends. « Tu t’en tires bien ! » pensai-je. — J’ai appelé deux ou trois fois mes parents cette semaine. Il paraît que les enfants ...