1. À cocu, cocu et demi


    Datte: 07/06/2018, Catégories: 2couples, extracon, cocus, jalousie, dispute, noculotte, intermast, Oral pénétratio, champagne,

    ... s’amusent comme des fous chez leurs Papy et Mamie, continua-t-elle afin de changer de sujet de conversation.— Oui. J’ai téléphoné ce matin à tes parents et ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas vraiment hâte de rentrer. On ira les rechercher demain. Tes parents nous invitent demain midi.— Oui je sais, ils me l’on dit. Carole avait entrepris de vider sa valise. Méticuleusement, elle sépara le linge sale du reste et commença à ranger. Pendant ce temps, je m’étais installé dans un fauteuil et, tout en faisant semblant de lire une revue, je l’observais discrètement du coin de l’œil. Lorsqu’elle s’accroupissait, sa petite jupe très courte remontait très haut, découvrant ses jolies cuisses. Ses longs cheveux blonds bouclés jouaient autour de son visage ; de temps à autre elle les rejetait en arrière d’un geste gracieux et très féminin. Je trouvai ma femme très belle, très désirable, et j’eus tout à coup très envie d’elle. Puis soudain me vint à l’esprit l’image de ce « salaud de Julien » en train de trousser la jupe de ma jolie Carole ; je le voyais caresser ses belles cuisses et même arracher son string d’un geste brusque. Ça me rendait dingue d’y penser. De temps en temps, Carole se retournait pour me faire un petit sourire, tout en continuant son rangement, comme si de rien n’était. Toujours plus amusé de cette situation où je me sentais le maître, je décidai de poursuivre mon interrogatoire : — Vous étiez hébergés à l’hôtel, à Paris ?— Oui, bien sûr… pourquoi ? me fit-elle, ...
    ... tentant de dissimuler sa soudaine inquiétude derrière un sourire forcé.— Oh, pour rien. Pour savoir, c’est tout. Je marquai une pause, puis je revins à l’attaque : — Et l’hôtel était bien ?— Oui, très bien…— Il était où, à Paris ?— Dans le quartier de l’Opéra. Mais pourquoi toutes ces questions ? Je la sentis cette fois réellement préoccupée par mon insistance ; alors il était temps pour moi de porter l’estocade : — Au fait, j’ai téléphoné à ton bureau cette semaine, déclarai-je à brûle-pourpoint tout en épiant sa réaction.— Comment ? me dit-elle comme si elle n’avait pas bien compris.— J’ai téléphoné à ton bureau cette semaine, répétai-je. Je vis alors le visage de ma ravissante femme se décomposer en un instant et devenir pâle comme un linge. Elle balbutia : — Mais pourquoi ? Tu pouvais m’appeler sur mon portable…— Comme ça… Une idée stupide, je reconnais, continuai-je volontairement évasif. Elle s’était figée debout au milieu de la pièce ; son visage était déconfit et ses yeux trahissait une panique certaine. — Et alors ? finit-elle par prononcer avec un sourire forcé, tentant de paraître naturelle.— Et alors ? Ben, ils m’ont dit que tu n’étais pas à Paris mais que tu étais bien à Lyon, et qu’en plus tu n’étais pas en stage. Je me levai de mon fauteuil, m’approchai d’elle et plantai des yeux inquisiteurs dans les siens. Elle resta muette de terreur. — Alors, Carole, peux-tu me dire où tu étais ? Et surtout, peux-tu me dire où tu as couché pendant quatre jours ?— Je… euh… Elle ...
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