La vérité de Mathilde
Datte: 07/06/2018,
Catégories:
ff,
intermast,
Oral
... culotte de Nassera. Là elle imaginait déjà ses yeux tout près de son vagin, il fallait qu’elle la déshabille. Alors très lentement elle défit les boutons du chemisier, elle plaqua ses mains à travers le soutien-gorge, de beaux seins lourds qu’elle avait aimé sentir contre son buste lors de leur première nuit et que Nassera lui laissa toucher. Elle l’aida même à défaire l’attache. Mathilde les caressa, les embrassa puis poussa la jeune fille à s’allonger. Elle enleva son gilet et son haut en coton, défit son soutien-gorge et vint poser ses seins contre ceux de Nassera. Elles agissaient très calmement. Nassera avait décidé de se laisser faire, les yeux ouverts sur l’expérience nouvelle que Mathilde lui faisait vivre. Quand cette dernière défit les boutons de son jeans, elle ne dit rien, elle souleva les fesses pour l’aider à le glisser jusqu’à ses pieds. Mathilde était maintenant tout près de contempler ce qu’elle aimait le plus au monde : le sexe d’une fille. Elle sourit devant la large culotte en soie pas très sexy de Nassera et fut prise de tremblements en voyant la tâche humide. Nassera avait les jambes écartées, elle attendait. Mathilde passa ses doigts sous la culotte et la fit glisser le long des belles jambes brunes de Nassera. La culotte fut prise un instant dans les pieds avant d’être déposée au pied du canapé. Mathilde avait maintenant devant un elle un vagin protégé par un abondant triangle de poils, constellé de gouttes de cyprine, dont elle crut entendre le ...
... chant visqueux lorsque Nassera avait écarté un peu plus les jambes. Se répétant intérieurement qu’elle adorait les filles, elle approcha sa main. Ô chaleur, ô délices… Elle prit dans ses mains sa vulve et la pétrit un peu. Un doigt se glissa à l’intérieur des lèvres froncées, en direction du creux humide de son vagin, un autre, après avoir délicatement écarté le capuchon des petites lèvres, caressait l’ergot glissant de son clitoris. Nassera était au bord de jouir. Mathilde allait un peu vite, elle calma le jeu, embrassa son ventre, le haut du pubis, et redescendit en léchant vers les cuisses qu’elle remonta ensuite par la douce rigole qui mène au sexe odorant, celui de Nassera particulièrement, soulevé par les battements du désir. Avec la pulpe des pouces, Mathilde écarta doucement les grandes lèvres du vagin. Les petites lèvres s’écartèrent aussi légèrement. La peau à l’intérieur était d’un rose nacré et luisant. Elle y porta sa langue courbée comme un petite cuillère. Le clitoris perçait gaillardement sous le capuchon de chair à l’entrée de l’orifice. Elle l’aspira dans sa bouche comme un fruit de mer, un spaghetti ou tout simplement comme un clitoris dont on veut éprouver le glisser au creux des lèvres en le titillant à l’intérieur de la bouche avec la pointe de la langue. Nassera pleurait presque. La langue de Mathilde allait partout, de haut en bas, de bas en haut en tournant, elle léchait, embrassait, aspirait. Elle était maintenant dans un état d’excitation qu’elle ne ...