Plus nue que nue
Datte: 08/06/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
ecriv_f,
... voilà la solution ! Je descendis dans la rue, prétextant d’aller acheter le pain, et je fis le trajet jusqu’à la boulangerie en sautant sur un pied sur le bord extrême du trottoir. Arriva ce qui devait arriver, et je me fis une entorse magistrale… Je l’avais, ma bonne raison de ne pas participer aux jeux habituels, j’étais tranquille jusqu’à la fin du séjour… Douloureux, mais radical ! Les vacances se terminèrent de cette manière piteuse et je repris le lycée en septembre, assez déprimée : mon joli triangle s’était petit à petit couvert de poils, et je m’y étais habituée, comme on accepte la fatalité, et il fallait maintenant accepter l’idée qu’il saigne. Grâce à l’appétit de vivre et à la révolte qui caractérisent les adolescents en forme, et parce que cela faisait partie du prix à payer pour grandir, je m’accommodais relativement bien, dans les mois qui suivirent, de cette mutation qui, malgré ces petits inconvénients, était pleine de gratification : les garçons ne me proposaient plus de jouer au volley-ball ou d’aller à la piscine, mais m’invitaient à leurs fêtes… J’étais devenue une femme et ils s’en étaient aperçu… Je gardais tout de même une sorte d’aversion pour les poils folâtres qui ornaient mon bas-ventre et je pris l’habitude de les couper, très ras. Je devins ensuite une groupie des salons d’esthéticiennes, où j’expérimentai au fil des années les épilations traditionnelles, maillot-aisselle, à la cire, au miel, au sucre, à l’orientale ; et aussi bien sûr les ...
... crèmes et bandes épilatoires maison, les rasoirs à simple ou double lame, tous les gadgets électriques censés nous débarrasser du moindre duvet. J’ai tout testé.Que Choisir peut me solliciter, je leur fournis une double page critique dans l’instant. Jusqu’au jour où je décidai de m’offrir une épilation totale. Je cherchai dans l’annuaire un cabinet d’esthétique qui assurait cette prestation et je pris rendez-vous. Ah ! Le plaisir d’entrer dans un salon de beauté ! Il n’a d’égal que celui de pénétrer dans une parfumerie ou chez un libraire ou dans un grand restaurant… Couleurs pastel, chaleur, odeurs de cire chaude, de crèmes sophistiquées… et la légèreté joyeuse d’une ambiance de femmes, lorsqu’elles assument leur part nécessaire de futilité et d’égoïsme. A peine entrée, une jolie femme souriante m’accueillit et me conduisit dans une cabine, me proposant de me déshabiller pendant qu’elle mettait la cire à fondre sur un petit fourneau. Je m’installai nue sur le lit de soins et elle me couvrit d’une grande serviette douce et moelleuse. Je profitai de ces quelques minutes pour me détendre, pour chasser mon anxiété, me persuadant que c’était la première fois pour moi, mais qu’elle, elle devait épiler des dizaines de clientes tous les jours, forcément elle avait l’habitude de cette situation ; après tout, c’était son travail. Et je m’en remis entièrement à son savoir-faire. Elle revint vers moi, releva la serviette pour découvrir mon ventre et écarta mes cuisses. Son regard sur mon ...