1. Plus nue que nue


    Datte: 08/06/2018, Catégories: fh, couple, fépilée, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, ecriv_f,

    ... nombreux - avec une prédilection pour le dos et toutes les zones où la peau est si fine et réceptive : le creux des bras, derrière les genoux, l’intérieur des cuisses. Lentement, il dessinait de la main les contours de mon corps, les yeux fermés, attentif aux sensations qu’il provoquait en moi et en lui, cherchant de quel ordre pouvait bien être la surprise annoncée, s’en doutant petit à petit, reculant le moment où sa main la découvrirait. Sa main, à l’intérieur de mes cuisses, remontait doucement et, délicatement, effleurait mon sexe nu, provoquant en moi et en lui un trouble qui nous arrachait des gémissements. J’avais fermé les yeux pour savourer ce moment où je me livrais, plus nue que nue, à un homme, pendant que lui, n’y résistant plus, faisait voler le drap pour jouir du spectacle. Il ne dit mot, contemplant mon ventre plat, tendre, parfaitement lisse du nombril au périnée. Ses doigts écartaient mes grandes lèvres encore colorées et chaudes de l’épilation, découvraient mon sexe de femme entièrement livré à son regard. Du même que mon épileuse, quelques heures auparavant, il se pencha mais poursuivit le geste et glissa sa langue, l’appuyant sur mon clitoris, caresse circulaire qui me donnait un plaisir fou, descendant entre mes petites lèvres jusqu’à l’entrée du vagin, remontant, léchant le moindre millimètre de peau maintenant découverte. Les yeux fermés, submergée de plaisir, passive, je me laissai explorer longuement. Sa bouche exigeante me prenait toute entière, ...
    ... mon sexe complètement livré à la voracité de cet homme qui jouait à l’engloutir, sa langue glissant fiévreusement dans ma moiteur, ses dents prenant mes petites lèvres, les étirant pour mieux les aspirer et se repaître de sensations, en un moment de dévoration amoureuse bouleversant. Je me mis à jouir intensément, les cuisses ouvertes, le corps arc-bouté, mes mains tenant fort sa nuque, l’emprisonnant, pour augmenter la pression de sa bouche, pour que sa langue sente au fond de moi les palpitations et la coulée qu’elle provoquait. Quand je relâchai la contrainte, que mon halètement se calma un peu, il prit son sexe gonflé dans sa main et le promena sur ma chatte, douce caresse de nos peaux imberbes et lisses, puis le glissa dans mon vagin, de toute sa longueur, en un seul coup puissant qui me cloua, entre douleur et plaisir, me faisant me soulever sur un coude pour essayer d’échapper à l’emprise. Lui, la tête penchée, regardait le spectacle de son pieu luisant pénétrant cette vulve tellement nue, jusqu’à ce qu’un orgasme fulgurant le submerge et que, la tête en arrière, criant et gémissant, il explose au creux de mon ventre. — C’est fou, me dit-il plus tard, ce que tu as déclenché en moi. J’ai été pris dans de vieux fantasmes de dépucelage de vierge, de brusquerie, tellement ton sexe blanc et nu évoque l’innocence, mais tout en sachant que je pouvais les vivre sans réserve, en toute innocence moi aussi. Et si l’érotisme servait justement à cela, retrouver l’innocence, la pureté ...