1. Duel de coquines


    Datte: 09/06/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, grosseins, poilu(e)s, Collègues / Travail soubrette, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hdanus, jeu, init,

    ... Les deux hommes ne peuvent résister à son appel. Elle s’agenouille sur la moquette tandis qu’ils s’approchent d’elle. Elle a tôt fait de ressortir leurs attributs et entreprend de les lécher, chacun leur tour, puis ensuite ensemble, elle prend les deux glands dans sa bouche et les suce avec appétit. Elle a envie qu’ils la couvrent à nouveau de sperme, elle a envie d’être engluée par leur semence et de sentir leur jus sécher sur son visage. Elle sait si bien y faire qu’ils ne mettent pas longtemps à exaucer une nouvelle fois ses vœux. Elle les vide entièrement, jusqu’à la dernière goutte. C’est la troisième fois pour Franck, qui est un peu plus tari. Elle est contente, elle est heureuse, elle en a jusque dans les cheveux. Elle lèche les bites jusqu’à la dernière goutte. Puis elle se relève, satisfaite, ramasse ses vêtements et abandonne les deux hommes qui s’en vont vaquer, chacun de leur côté, à leurs occupations. « Dring, dring ! » À peine rentrée dans sa voiture que le téléphone se met à sonner. C’est Mariette qui exulte, elle semble vraiment enjouée : — Je crois que tu me dois un gueuleton, annonce-t-elle de but en blanc, complètement hilare. Cette fois-ci, Christian n’est plus puceau !— Vraiment ? (Pauline a du mal à le croire)— En tout cas il m’a bien fait l’amour et je crois que nous allons recommencer le plus vite possible. C’était si bon… et, avec lui, je me sens un peu comme si j’avais 20 ans.— Mais comment ça s’est passé ?— Quand il est revenu, je l’ai emmené dans ...
    ... le vestiaire et je l’ai pris entre quatre yeux. Dans un premier temps, il se demandait bien ce qui se passait et s’attendait à être sermonné. Mais je lui ai parlé de toi.— Parlé de moi ?— Oui, de ce qu’il t’avait dit et que tu avais l’impression qu’il était amoureux de moi. Il a commencé par nier tout en bloc. Mais je lui ai dit « Écoute, Christian, si tu étais amoureux de moi, ce ne serait vraiment pas grave, j’en serais même vraiment flattée. » Il m’a répondu qu’il m’aimait bien, qu’il me trouvait plaisante, mais qu’il n’était pas amoureux. Il me regardait avec ses yeux de merlan frit, comme il fait souvent. Je pensais que ce n’était pas gagné, qu’il allait falloir que j’use de tout mon charme. Mais, je ne sais pas ce qui lui a pris, il s’est tout d’un coup jeté sur moi et m’a roulé une galoche avec sa langue baveuse, en me triturant les seins.— Eh bien dis donc ! Il devait refouler cette envie depuis fort longtemps.— Je l’ai gentiment repoussé mais il était excité comme un pou, il revenait tout le temps à la charge et j’ai eu toutes les peines du monde à le calmer, à coups de : « Allons, Christian, pas si vite, sois gentil, nous avons tout notre temps. » Je lui ai demandé s’il était encore puceau, il m’a avoué que oui, en rougissant. Je lui ai dit que s’il était gentil, je pouvais faire son éducation sentimentale.— Je croyais que tu n’aimais pas les petits jeunes.— Je me suis sacrifiée pour le concours.— Tu parles, si tu t’es sacrifiée ! Te connaissant, ça ne devait pas ...
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