Duel de coquines - Histoires de Sexe

Duel de coquines

... être un gros sacrifice.— En tout cas, il a tout ce qu’il faut là où il faut, il est même plutôt bien pourvu même si, pour l’instant, il ne sait pas trop s’en servir.— Je te l’avais dit : des grands pieds et une grande bite. Vous avez fait ça dans le vestiaire ?— Non, je l’ai emmené au deuxième étage, il y a une petite salle d’attente avec des coussins.— Il t’a léchée ? Pénétrée ?— Je l’ai pompé et je suis venue sur lui. Et lui, de son côté, il n’a pas arrêté de me sucer les seins. Il est fasciné par les nichons, ce gars-là. Si tu es sage, peut-être qu’un jour je te le prêterais, je suis sûre qu’il aimera ta grosse poitrine.— Et vous avez bien joui ?— Tu sais, c’était la première fois, il y a encore quelques petits réglages à faire. Moi, je l’ai bien vidé mais je me suis finie à la main devant ses yeux, pour qu’il regarde.— C’est tout ?— C’est déjà pas mal, pour une première fois. Je lui ai donné mon adresse, s’il veut venir ce week-end…— Ça va encore jaser dans ton immeuble.— Je m’en fous, je baise avec qui je veux ! Et celui-là, j’aurais tort de m’en priver. Pauline passe sa langue sur ses lèvres, encore un peu de sperme. C’était tellement bon ! — Et toi, ma biche ? Mariette la sort de sa léthargie. — Oh moi, tu sais, rien de spécial.— Tu n’as pas essayé de draguer ton employé de bureau ?— Non, je te dis, rien de spécial… je me suis juste fait baiser par deux mecs sur la moquette du bureau…— Non, arrête ...

... ! Tu charries !— Je te jure que c’est vrai. Et si tu veux une preuve, tu peux passer me voir. Tu veux venir vérifier par toi-même, j’ai encore des traces de sperme sur le visage.— Comment ça s’est passé ?— Eh bien d’abord je suis allée rejoindre l’obsédé des films de culs, j’ai découvert une de ses petites manies, et puis le gardien a rejoint notre couple.— Vous avez fait ça à trois ?— Oui, à trois, dans le bureau du cadre, et je peux te dire que j’ai bien vraiment joui.— Oh ! avec deux mecs, mais quelle salope tu fais ! Et lequel des deux préfères-tu ?— Je crois que je vais garder les deux, car chacun d’entre eux a ses avantages. Le gardien est poilu comme un singe et le gratte-papier est vraiment bien monté. J’ai pris vraiment un pied d’enfer et j’y retournerais bien pour une seconde tournée.— Oh, ma parole, tu es encore plus vicieuse que moi.— En tout cas, je crois que cela ne fait aucun doute : c’est toi qui me dois un gueuleton.— Et pourquoi pas un gueuleton à cinq ? Tu pourrais amener tes deux beaux mecs, et moi mon petit Christian. On pourrait passer une super soirée et se terminer par une petite partouze.— Humm, tu m’en donnes l’eau à la bouche !— On en parle chacune à nos amants respectifs et on essaie de se fixer une date ? À cette heure tardive, Pauline avait recouvré le moral. Tout d’un coup, ce simple petit coup de téléphone lui avait ouvert de nouvelles perspectives et l’avenir était radieux.