Duel de coquines
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
grosseins,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
soubrette,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
jeu,
init,
... ne peut plus la retenir. En plus, excitée par les petits films cochons, elle a envie de se faire baiser, là, maintenant, sur le bureau comme la secrétaire, et si possible par plusieurs hommes. Elle défait un à un les boutons de sa blouse et extrait de son soutif ses seins lourds aux larges aréoles. Ils sont auréolés d’une grosse pastille sépia. Perverse, elle mouille bientôt ses doigts et fait reluire ses mamelons de salive. Franck n’en croit pas ses yeux, combien de fois s’est-il masturbé le soir dans sa piaule en imaginant les deux obus obèses, ces deux rondeurs qu’il ne parvient à entrapercevoir que de temps à autres et succinctement. Combien de branlettes espagnoles a-t-il imaginées entre grosse poitrine ? Dans son lit, il se finissait généralement en fermant les yeux, et en imaginant cette femme de ménage lubrique devant lui, le visage couvert de son sperme gras. Par contre, dans ses rêves les plus fous, il ne l’imaginait pas aussi délurée mais beaucoup plus réservée et craintive. Maintenant, elle est là, à deux pas, devant ses yeux qui n’en reviennent pas, avec ses grosses doudounes généreuses et offertes. Et la cochonne se masse les seins pour exciter sa convoitise. Depuis que sa femme l’a largué, Franck vit seul dans un petit studio. Du temps où ils étaient ensemble, il reprochait souvent à son épouse d’être beaucoup trop froide et de ne pas avoir assez d’envies. Déjà à cette époque, il passait des nuits blanches à surfer sur Internet. Résultat des courses, Maryse ...
... s’est trouvé un autre mec avant de demander le divorce. Et, sa timidité maladive a fait que, plusieurs années plus tard, il vit toujours tout seul. Avant il ne baisait déjà pas beaucoup, maintenant il ne baise plus tout. Quand l’envie devient trop forte, il se rabat sur des professionnelles qui ne lui apportent qu’une maigre satisfaction. Il lui arrive même de regretter Maryse… Maintenant ce sont les seins de la femme de ménage qu’il tient dans ses mains. Cette femme lui a toujours semblé un brin vulgaire, elle est en tout cas, de par ses réactions, relativement frustre et primaire, mais, en bonbobo, c’est ça qui l’excite, s’acoquiner avec une femme du peuple. Il ne voudrait plus avoir d’aventure avec une femme précieuse et qui fait trop de chichis, il en a vraiment soupé de ce genre de gonzesse. Il lui faut du solide, du concret, du physique, du bien lourd, et ces gros seins pulpeux correspondent en tous points à son besoin présent. Il les palpe, il les triture. Après les avoir épiés pendant des mois, il peut enfin jouer avec. Pauline savoure, c’est tellement bon ces deux grosses mains d’homme sur sa poitrine bien chaude et, lorsqu’il se penche pour la téter, elle gémit sous la caresse. Il lui mordille les bouts avec ses incisives, il la mord à lui en faire mal, elle serre les dents et accepte passivement la brutalité de cet assaut qui fait durcir ses bouts. Tandis qu’il continue à maltraiter ses roploplos, Pauline s’inquiète de sa virilité, et lui met carrément la main au ...