L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
... surprise.— L’humiliation de ton erreur m’a tellement blessée que je veux te faire mal et que cela me fait peur, dit-elle. J’avale ma salive et dis : — Ça me fait peur aussi quand j’entends ça.— Mais je ne peux pas m’en empêcher, ça me ronge, tu comprends ? dit Adeline. De grands gestes accompagnent son discours et elle en oublie le verre de vin qu’elle tient dans la main. Quelques gouttes atterrissent sur le canapé et sur sa robe, mais elle ne le remarque pas. — Je pense que je te comprends ! dis-je, repentant.— Alors j’ai deux options, dit-elle en remplissant son verre.— Et quelles sont ces options ? dis-je pour l’inviter à poursuivre.— Te quitter et avoir du chagrin ou t’aimer, te punir et t’humilier, répond Adeline. J’avale péniblement ma salive, reste un bon moment coi et réalise que nous en sommes à un point de non-retour. Après avoir vidé son verre et ouvert une nouvelle bouteille de vin, Adeline demande : — Que choisis-tu ? Ma femme me demande de choisir entre la peste et le choléra. La séparation n’est pas une option selon moi. Me laisser battre est également une mauvaise perspective, mais tout ça semble être bien réfléchi et ce n’est clairement pas une lubie passagère. — Je veux que tu m’aimes, mais que tu modères ta punition.— Et qu’en est-il du contrôle ?— Je n’ai pas de secret pour toi, dis-je, alors pour peu que tu me fasses confiance, je pense que ça ira.— Ma punition ne sera ni douce ni ponctuelle, Martin, dit Adeline.— Je sais, dis-je. Après quoi, je bois un ...
... grand verre de vin pour reprendre courage, pour un châtiment ou une humiliation qui suivra sans aucun doute bientôt. — Déshabille-toi, dit Adeline. Nous y voilà déjà ! Et je réponds à sa requête en me déshabillant pour elle. Dès que je suis nu, Adeline retire également ses vêtements, prend position sur le bord du canapé et me fait signe de me rapprocher. Elle avance la tête contre mon entrejambe et souffle doucement sur mon gland, de sorte que mes sens sont stimulés et que ma bite se redresse promptement. Adeline se penche et la prend dans sa bouche : elle tète doucement au début, mais bientôt elle aspire goulûment mon membre. La sensation est loin d’être désagréable. Avant de libérer ma verge, elle la mord bien trop fort. Je me retire aussitôt en criant. Pour Adeline, mon retrait est une raison pour ne pas le reprendre dans sa bouche, ni ailleurs… Aller plus loin serait une grosse prise de risques. Je me rhabille donc et termine mon verre. Adeline fulmine. Moi aussi. Elle attrape soudain ma tête des deux mains et pointe mon visage vers le sien. Elle me regarde droit dans les yeux, comme si elle essayait de déchirer mon âme. Pendant de longues minutes, elle me fixe comme ça, sans cligner des yeux, puis… — Tu ne me mérites pas, Martin, il va falloir que tu fasses encore beaucoup d’efforts pour être digne de moi. Je ressens la même douleur qu’après une gifle et murmure de façon quasi inaudible : — Tu as sans doute raison et je veux te prouver mon amour, mais s’il te plaît, ne me ...