L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
... (j’y ai droit un samedi sur deux) et je lui avoue en toute honnêteté que j’ai vu trop souvent le fond de mon verre pour pouvoir donner une réponse adéquate. Je me souviens vaguement de la dame qui m’utilisait comme un gode en chair dans le parc, mais décide sagement de ne pas raconter cet événement à ma femme, malgré un sentiment de culpabilité très embarrassant. Après tout, Adeline et moi avons une relation saine. Nous sommes un couple depuis la fin du lycée et tout est méticuleusement organisé : une hygiène de vie satisfaisante, si toutefois on peut faire abstraction de mes excès au bistrot, une bonne santé, une pratique sportive régulière, un travail agréable et épanouissant, des revenus enviables et une quantité largement suffisante d’amis. Quant à nos litiges, certes parfois tumultueux, ils se résolvent majoritairement en douceur sous la couette. De plus, il est impensable pour chacun de nous que l’autre n’ait jamais eu des relations sexuelles avec une tierce personne. Du moins, jusqu’à aujourd’hui… Adeline a un an de plus que moi et, après tant d’années, je la trouve toujours aussi canon : une silhouette affolante avec tout ce qu’il faut là où il faut, de belles boucles sombres culminant un beau visage au sourire d’ange. Elle prend bien soin de son corps, visite régulièrement le salon de bronzage et garde ses jambes et son entrejambe parfaitement lisses, ce qui me ravit. Notre vie sexuelle va bien : à quelques exceptions près, nous avons des relations sexuelles tous ...
... les deux ou trois jours, avec, la plupart du temps, des préliminaires torrides. Adeline suce merveilleusement bien et ne connaît quasi pas de tabou. Je suis encore en peignoir à la table du petit-déjeuner dominical et ma femme n’est pas encore habillée non plus. Comme j’ai besoin d’une bonne douche pour remettre mes idées en place, je me lève de ma chaise en terminant mon troisième café serré. — Je vais me doucher. Y a un chouette truc à faire cet après-midi ?— Sans doute et puis, il fait beau ! Je vais regarder s’il se passe quelque chose quelque part. Et Adeline allume aussitôt sa tablette. Encore un peu cassé, je m’achemine vers la salle de bain, tombe mon peignoir, puis mon caleçon et me dirige vers la cabine de douche. Après deux ou trois minutes, Adeline me rejoint toute joyeuse dans la salle de bain. Un instant, je crois qu’elle veut faire ses ablutions avec moi, comme elle l’a encore fait la veille et ça se passe toujours très agréablement. Comme elle garde son peignoir sur elle, je réalise que malheureusement son enthousiasme a une autre origine, mais le bruit de la douche m’empêche de la comprendre. La tête dans la porte de la cabine, je l’entends dire qu’il y a un festival de musique folk auquel nous pouvons assister l’après-midi. Après un «D’accord, faisons ça ! » un tantinet expéditif, je referme la cabine et continue ma toilette. Au travers de la vitre embuée, j’entrevois qu’Adeline est restée dans la pièce. Je me rince, ferme le robinet et attrape la serviette ...