1. L'arroseuse arrosée


    Datte: 09/06/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, jardin, fdomine, vengeance, Masturbation gifle,

    Avec un sacré verre dans le nez, je sors du bistrot, non sans avoir pris chaleureusement congé de mes amis. La dame qui m’a dragué toute la soirée m’apostrophe alors que je tourne le coin de la rue : — Hé, beau gosse, pourquoi tu t’en vas ? J’ai un truc à te dire ! Confus, je regarde derrière moi et la vois approcher rapidement, mais en titubant. Je n’y prête pas attention, mais je marche moi aussi d’un pas approximatif, traverse la rue et me dirige vers l’entrée du parc, car c’est le chemin le plus court pour rentrer chez moi. Une fois encore j’entends la dame appeler derrière moi et bien que saoul, je n’en reste pas moins un gentleman, je m’arrête et je me retourne. — Qu’est-ce qu’une fille comme toi fait dans le parc à cette heure ? Je le dis en riant, parce que la dame n’est plus une petite fille et que ses quarante premières bougies semblent avoir été soufflées il y a déjà belle lurette. Elle a toutefois un physique plus qu’agréable avec beaucoup de charme. — M’assurer qu’un petit garçon comme toi rentre à la maison en toute sécurité, répond-elle, sur le même ton humoristique.— Rassure-toi, à mon âge, je peux prendre soin de moi ! Et je ne pense pas que ma femme apprécierait si je rentre à la maison avec toi. Elle me prend par la main et me tire hors de la lumière artificielle du sentier, me presse contre un arbre et m’embrasse passionnément. Étrange sensation que d’embrasser une autre femme qu’Adeline après plus de quinze ans de mariage. Mais c’est agréable. La belle ...
    ... inconnue embrasse bien et, en tant qu’homme, je suis bien aise d’encore stimuler à ce point les hormones sexuelles d’une autre femme que la mienne. Avant que je ne le réalise, mon pantalon est sur mes chaussures et la dame est debout, les fesses nues contre moi et ma bite. Il ne faut pas longtemps pour que celle-ci pénètre toute raide dans sa chatte bien lubrifiée et pendant que je m’appuie contre l’arbre pour garder l’équilibre, c’est elle qui détermine le rythme de nos ébats. Au bout de cinq minutes environ, elle jouit si bruyamment qu’une bestiole s’enfuit du buisson voisin. Satisfaite, la dame avance d’un pas et remonte sa petite culotte sous sa courte jupe. — Tu peux te débrouiller tout seul, non ? Pour tout remerciement, elle m’octroie un doux baiser sur la bouche et une caresse sur la joue. Encore tout confus, je la regarde s’éloigner. Elle quitte déjà le parc en me laissant perplexe, la queue toujours à l’air. En réfléchissant à tout cela, je réalise que cette aventure est le seul égarement extra-conjugal que j’ai jamais eu. Pourtant, il n’y a pas vraiment de quoi se vanter auprès des copains. En fait, cette dame m’a juste pris et jeté comme un Kleenex avant même que je puisse demander son petit nom. Je reprends mon chemin dans la nuit et rentre chez moi à plus de trois heures du matin. Je me déshabille et me couche à côté d’Adeline. En moins d’une minute, je tombe dans un sommeil profond. Au petit-déjeuner, tard dans la matinée, Adeline s’informe de ma soirée-copains ...
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