L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
... semble ne pas encore nous avoir entendus entrer, noyée dans ses pensées ou… dans son vin… Elle sursaute lorsque je lui adresse la parole. — Ma chérie, je te présente Théo, un ami du bistrot. Je l’ai invité à venir goûter à ton… vin. Adeline se lève du canapé et ouvre de grands yeux aussi ébahis que ceux de notre nouvel ami black, ceux d’enfants découvrant leurs cadeaux de Noël ! Manifestement le courant passe bien entre eux. Et même avec moi. Nous bavardons de tout et de rien, surtout de rien, jusqu’au moment où Adeline prend les devants : — Théo, si j’ai bien compris, tu es architecte d’intérieur. Tu dois avoir envie de visiter le reste de la maison, non ? Sans attendre la réponse, Adeline est déjà debout et, contrairement à son habitude, elle ne tire pas sur sa mini-jupe pour la remettre en place. — Je passe devant. Suivez-moi tous les deux pour la visite ! Dans l’escalier, la fente de ma femme est parfaitement visible, répondant indiscutable à la question que Théo et moi nous nous posions : culotte ou pas de culotte ? Adeline fait rapidement le tour de l’étage : d’abord la seconde chambre et la salle d’eau qu’elle juge d’emblée sans intérêt, pour s’attarder dans notre chambre dont la déco devrait, selon elle, plaire davantage à Théo. Elle se dirige tout de suite vers la fenêtre et regarde les lumières de la ville au-dehors. — Et que penses-tu de la vue ? dit-elle— Superbe vue sur le parc, dit Théo en regardant ma femme plutôt que le paysage.— Il paraît que, la nuit, il ...
... s’y passe des choses étranges ? De jolies dames y violent de beaux messieurs, à ce qu’on raconte.— Ah oui ? Adeline sent qu’il se tient juste derrière elle. Il pose délicatement ses mains sur ses épaules et elle se penche légèrement en arrière, en signe d’approbation. Elle sent la chaleur de son corps viril et sa chatte devient aussi humide qu’une vadrouille de marine. Les mains noires glissent lentement le long des bras blancs jusqu’à ses hanches et Théo pousse son corps contre les fesses de ma femme. Adeline se sent belle et désirée et, elle toujours si dominatrice, ne peut plus se contrôler. Pourtant, elle veut que Théo prenne l’initiative. Son souhait est exaucé : elle ne doit pas attendre longtemps. — Je te désire, dit Théo. Il l’embrasse dans le cou et elle sent ses mains lui caresser les seins. Le croise-cœur choisi spécialement pour la circonstance ne demande qu’à se dérober : une légère traction sur le nœud dans le dos et Adeline se retrouve les seins nus devant la fenêtre. Le risque d’être vue de la rue ne semble pas l’atteindre. Les grandes mains malaxent ses seins et tirent sur les tétons raidis par le désir. Quant à moi, assis dans le fauteuil crapaud Louis-Philippe dans un coin de la chambre, je ne rate pas une miette du spectacle qui s’offre à moi. Toutes sortes de pensées excitantes me traversent l’esprit. J’ai hâte de voir la suite, mais je garde en permanence un air meurtri. Adeline se retourne et laisse sa main passer au-dessus de cette épaisse bosse dans le ...