Maud
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
fépilée,
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
uro,
bourge,
... avances. Et c’était-là mon plan. Ne pas répondre à ses provocations, afin de l’intéresser à moi. J’avais une chance sur deux que cela marche. Et cela sembla marcher. Quelques jours plus tard, au bar de la fac, elle vint vers moi et, en me lançant une œillade, elle me dit d’une voix suave : — Salut, toi. Alors, toujours fâché ? Je ne lui répondis rien, pris mon verre et lui tournai le dos pour aller m’asseoir plus loin. J’eus juste le temps d’apercevoir son visage et la même étincelle de rage dans son regard. Ce même scénario se reproduisit encore plusieurs fois dans les semaines qui suivirent. Et bientôt je m’aperçus que Maud cherchait par tous les moyens à me conquérir. Quoique flatté, je ne cédais toujours pas. Je comptais faire durer ce petit jeu encore une quinzaine de jours, mais un événement imprévu vint accélérer le processus. Les rues de notre cité universitaire sont toutes piétonnes. Seuls les véhicules de livraison sont autorisés à y circuler entre six et onze heures du matin. Mais bien sûr, d’autres véhicules profitent de ce laps de temps pour traverser - en infraction - la cité, afin d’éviter le détour par les voies périphériques. Ce jour-là, vers dix heures, nos cours du matin étant terminés, nous nous rendions au bar de la Fac. J’entendis appeler mon nom et j’aperçus Maud, sur le trottoir d’en face. Elle traversa la rue en me faisant signe qu’elle rejoignait notre groupe. J’entendis le klaxon d’une voiture qui descendait la rue. Elle n’était plus qu’à quelques ...
... mètres de Maud qui, prise de panique, resta immobile, comme tétanisée. Un réflexe instinctif me fit courir vers elle (les ruelles de la cité sont heureusement fort étroites). Je l’agrippai par le bras et la tirai violemment en arrière, une fraction de seconde avant l’impact. Je tombai sur le dos, entraînant Maud dans ma chute. Elle s’étala sur moi et ne se fit aucun mal. Par contre, je m’étais sérieusement écorché le coude droit, et cela saignait assez fort. Revenue de ses émotions et m’aidant à me relever, Maud me dit : — Oh ! Mike, merci, merci. Tu m’as sauvé la vie. Mais… mais tu saignes, ma parole. Viens, mon appartement n’est pas loin ; je vais te soigner cela. Encore un peu sonné de ma chute, je la suivis jusque chez elle. Elle habitait un vaste appartement, propriété sans doute de son richissime Papa. Elle me fit asseoir et désinfecta ma blessure. Elle s’y prenait très doucement et je lui dis que si elle devenait un jour infirmière, c’est toujours elle que je demanderais. Elle me regarda quelques instants dans les yeux, puis, d’un geste brusque, posa ses lèvres sur les miennes. Puis elle se détourna et sans plus me regarder me dit : — Je sais que tu me considère comme une pute. Mais je t’assure que ce n’est pas vrai.— Écoute, dis-je, tu couches quand même avec tous les garçons… et même parfois avec leurs copines, ajoutai-je avec une pointe de rosserie.— Ne me juge pas si mal, Mike. C’est vrai, j’ai beaucoup d’aventures. Mais c’est plus fort que moi. J’ai besoin de sexe, ...