Chère Marquise Ch. 02
Datte: 22/07/2017,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
... Marquise, conquise par l'ambiance luxurieuse avait échancré davantage sa tunique de mousseline, présentant ses seins somptueux et fermes aux regards des convives. A travers le plateau de verre transparent de la table, l'on pouvait voir les pieds des unes s'égarant dans l'entrecuisse des autres, et les tiges érigées des uns attiser la convoitise des autres. Alors qu'il remplissait la coupe de Sophie, le serviteur renversa la bouteille qu'il tenait à la main, éclaboussant la nappe et sa robe de liquide pétillant. Rouge de confusion, il s'empressa de réparer les dégâts, mais le mal était fait. Penaud, il s'immobilisa, les mains derrière le dos, attendant la punition que la Marquise ne manquerait pas de lui infliger. - Ce garçon mérite une correction, pour lui apprendre à servir correctement à table, dit la Marquise d'une voix froide. Qu'en pensez-vous? - Quelques coups de badine sur son derrière devraient lui servir de leçon, déclara Sophie, qui prenait la parole pour la première fois depuis le début de la soirée. Sur un geste de la Marquise, l'infortuné garçon baissa son pantalon et se plaça à quatre pattes, fesses offertes, dans l'attente de sa punition. Malgré la peur de la douleur qui s'annonçait, il se cambrait sans vergogne, montrant ses fesses lisses et musclées, ses cuisses fermes entre lesquelles on devinait une queue dure, un sac bien rempli. - Certes, mais qui va lui infliger son châtiment? , demanda Véronique Sophie se leva, et, tendant la main vers Pierre pour lui ...
... demander la cravache qu'il conservait fichée dans sa botte, sollicita de la Marquise l'autorisation de punir l'impertinent. Celle-ci agréa sa demande, fixant à 10 le nombre de coups qu'il devait recevoir. Afin d'adoucir la punition, Hugo intercéda en sa saveur, et obtint de la maîtresse de cérémonie le droit de caresser le pénitent pendant son châtiment. Sophie se leva et lentement se prépara à remplir son rôle. Elle dégrafa sa veste, puis sa jupe, apparaissant en guêpière et bas noirs. Son ventre bombé était dissimulé par une culotte de dentelle assortie, largement échancrée sur ses hanches mais couvrant ses fesses et son pubis. Chacun autour de la table avait fait silence, les yeux rivés sur le spectacle qui allait commencer. Sophie éprouva la souplesse de la cravache, cinglant l'air de petits coups vifs, puis, avec un plaisir sadique, parcourut la chair tendre du serviteur du bout de son instrument, s'attardant entre ses fesses, sur l'intérieur de ses cuisses, titillant au passage son sac, sa tige. Hugo s'était installé à côté du garçon, et aux mouvements de son bras, chacun pouvait deviner qu'il s'employait activement à détourner son attention par des caresses précises et délicates. Soudain, le bras de Sophie s'éleva et la cravache cingla sur les fesses offertes. Une marque rouge apparut aussitôt, bientôt suivie d'une autre, puis encore une autre. Le puni avait la queue d'Hugo dans sa bouche, étouffant ses cris. Penché vers lui, il se laissait sucer tout en murmurant des ...