1. Chère Marquise Ch. 02


    Datte: 22/07/2017, Catégories: Accouplements Érotiques,

    ... mi-femelle. A cette vue, chacun poussa un soupir de stupéfaction, ou de désir. La Marquise, stupéfaite, fit un geste pour l'inviter à se rapprocher d'elle. D'un geste tendre des doigts et des lèvres, elle cajola ce sexe dur, le palpant, le goûtant, elle appréciait le contraste abrupt entre cette virilité fière et ce corps de femme. Tous les participants au souper s'étaient approchés d'elle, chacun à son tour cajolait, suçait, palpait cette chair brûlante, mi-homme, mi-femme.... Sophie se livrait aux caresses qui l'enflammaient, ses tétons, son sexe, ses fesses, sa bouche devenaient des abîmes de volupté qui l'entraînaient à chaque instant au-delà des limites... Elle devenait un seul et même sexe, un océan de jouissance... Après plusieurs minutes de ce maelström, la Marquise d'un geste éloigna les autres admirateurs ce de corps irréel. Elle organisa le plaisir de la créature venue du ciel: Véronique et Pierre s'activaient sur sa poitrine opulente, Hugo, d'une langue habile, se délectait de son anneau serré. D'une main, elle empoigna la queue de Sophie, de l'autre, elle força le Chevalier à approcher ses lèvres. La délivrance fut rapide, et Sophie, en un ultime mouvement de reins, se libéra sur le visage offert du Chevalier. De longues traînées blanches zébrèrent son visage extatique, les lèvres ...
    ... grandes ouvertes il accueillait sa jouissance qui coulait le long de son visage. La Marquise, tout en continuant à branler Sophie, penchait son visage de Madone vers celui du Chevalier et goûtait avec lui la semence de la créature, parcourant de ses lèvres son visage, allant de la pointe de la langue du bout de la tige ruisselante de liqueur aux lèvres gonflées de plaisir du Chevalier. Après ce sommet de plaisir, les participants du souper surent que l'instant était venu de se retirer. Un à un, ils vinrent baiser la bouche enspermée de la Marquise, y déposant un baiser plein de tendresse. La Marquise et le Chevalier se retrouvèrent seuls, dans le grand château. Il prit sa main, et la guida vers l'escalier d'honneur, plein de prévenance, il prit sa traîne afin qu'elle montât l'escalier sans dommages. Arrivés devant la porte de la chambre bleue, le Chevalier la fit passer devant lui, humant au passage son odeur capiteuse. La Marquise s'assit sur un fauteuil de cuir fauve, laissant au Chevalier le soin d'allumer les candélabres placés sur la cheminée, auprès du lit et sur la table basse où brillaient les objets qui allaient ensoleiller leur soirée à venir. Lentement, sans la quitter des yeux, il vint se placer aux pieds de sa déesse. Mais ce qu'ils firent plus tard n'est pas encore écrit, et leur appartient... 
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