1. Plaisirs indécents (1)


    Datte: 11/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... chez elles le soir pour vivre leur vie de famille au côté de leur conjoint comme si de rien n’était. Je préfère considérer cet écart comme une prise de plaisir sans lendemain, comme la réalisation d’un fantasme tant imaginé jusqu’ici. Nous parlons toujours beaucoup, mon mari et moi ; aucun sujet n’est tabou, mais il m’est impossible de lui avouer mon écart. Bizarrement, malgré tout l’amour que j’ai pour lui, depuis cet adultère je prends beaucoup moins de plaisir lors de nos ébats ; mon esprit reste constamment figé sur ce que m’a fait vivre Eric, et cela malgré le fait que ce jour-là je n’ai pas atteint l’orgasme que j’avais imaginé dans mes fantasmes les plus fous. J’étais consciente que face aux nouvelles avances de mon amant d’un jour, ma résistance était fragile ; je craignais que le désir de renouveler cette expérience au moins une fois dans ma vie soit plus fort que ma raison. Dans les jours qui ont suivi, un matin, devant notre machine à café qui est le point de rendez-vous quotidien de notre équipe à l’embauche, Eric a trouvé l’occasion de me relancer discrètement une nouvelle fois lorsque nous étions seuls. — Alors, ma belle, tu ne te laisserais pas tenter une seconde fois par un petit moment tendre et câlin ? Maintenant que je savais de quoi il était capable dans l’intimité d’une relation, je savais que son discours charmeur n’était qu’un moyen de m’attendrir et que le moment câlin proposé serait plutôt de l’ordre de la vulgarité et la domination. Mais, pour ...
    ... être honnête, je m’interrogeais : me retrouver dans une telle situation, finalement, n’était-ce pas ce que j’avais le plus apprécié ? — Je ne sais pas, je ne suis pas sûre. — Qu’est-ce qui te retient ? — Je ne souhaite pas entretenir une relation extraconjugale ; j’ai apprécié notre moment, mais je considère qu’il ne serait pas raisonnable de le renouveler. — Rassure-toi, je ne souhaite pas une relation suivie, tu le sais bien. Je te propose uniquement de prendre du plaisir. — Je ne sais pas ; je ne préfère pas. — À moins que tu n’aies pas apprécié la dernière fois et que tu n’oses pas me le dire ? — Non, ce n’est pas ça du tout ; j’ai un petit peu honte de l’avouer, mais c’était bien. — Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. C’est pour cela que je te relance : je voudrais revivre ce moment. — Bien, mais cette fois-ci, si quelque chose ne me convient pas et que je te dis non, il faudra m’écouter ! — Bien sûr, si c’est ce que tu souhaites. Tu pourrais te rendre disponible une nuit entière ? — Ça me paraît difficile : en plus de mentir par omission à mon mari comme je le fais actuellement, il faudrait que je lui invente une excuse. Tu sais, je n’ai jamais découché. — Pour ton mari, tu pourrais par exemple devoir suivre une formation de deux jours sur Nice, ou... — Tu penses vraiment à tout pour arriver à tes fins… Tu vas même jusqu’à imaginer le mensonge que je peux balancer à mon conjoint ! — Je cherche à t’aider. — Admettons. Et que proposes-tu pour cette nuit ? — Je te propose de te ...
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