1. Plaisirs indécents (1)


    Datte: 11/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... servir le petit déjeuner au lit le lendemain matin après une nuit érotique et sensuelle. — Je vais y réfléchir. Sur ces mots, nous avons rejoint chacun notre poste de travail. Je savais que j’étais sur le point de ne plus pouvoir lui résister. Le soir, à la débauche, Eric s’est arrangé pour me suivre jusqu’à mon véhicule. — Alors, tu as réfléchi ? — OK, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour m’organiser. On programme ça pour la nuit de lundi prochain, ça te va ? — Bien sûr que ça me va. J’ai passé les jours suivants et le week-end à ne penser qu’à cette future nouvelle rencontre. Seul mon corps était présent lorsque je faisais l’amour à mon cher et tendre, mon esprit était hanté par la nuit à venir. dbndaf Ce lundi soir, ayant prétexté un déplacement imprévu le mardi nécessitant mon départ la veille, mon conjoint m’a accompagnée à la gare vers 18 heures ; j’étais censée prendre le train une demi-heure plus tard. Après m’être assurée qu’il était bien reparti, comme convenu j’ai envoyé un texto à Eric qui s’est empressé de venir me récupérer. Son accueil chez lui a été cette fois plus agréable ; il a pris le temps de me mettre à l’aise, sans aucun contact corporel. Il m’a proposé un apéritif avant de me suggérer un petit plat que j’ai accepté volontiers. Nous nous sommes ensuite installés confortablement sur son canapé, l’un contre l’autre pour nous embrasser langoureusement ; ses mains se baladaient sur mes seins encore vêtus. — On va dans ma chambre ? On sera plus à l’aise. ...
    ... — OK. Arrivés dans sa chambre, nous nous sommes déshabillés en nous observant. Mon cœur commençait à battre rapidement, mes sens s’éveillaient ; à cet instant, mon sexe laissait déjà s’écouler mon désir entre mes lèvres intimes. Sans oser en faire la remarque, mon attention s’est portée sur les petites cordelettes qui entouraient chaque pied de son lit. Sans avoir eu le temps d’analyser précisément l’intérêt de ce que je venais d’apercevoir, Eric m’a attrapée par la main pour me guider vers son lit où il m’a fait m’asseoir sur un coin du matelas. Il s’est installé debout devant moi, entre mes jambes, son sexe raide face à mon menton. — Tu me branles un peu ? J’ai posé ma main gauche sur sa jambe. De ma main droite j’ai entamé un massage sensuel de son bâton rigide ; à chaque décalottage de son gland, je pouvais apprécier sa forte odeur. Je prenais soin de bien serrer mes doigts autour de cette tige pour lui infliger un maximum de sensations à chaque va-et-vient. C’est accompagné de petits soupirs bruyants qu’il a attrapé ma tête pour diriger mes lèvres sur son sexe. Son attente était évidente : il voulait se mettre au chaud au fond de ma gorge. J’ai pris sa tige en bouche dans l’intention de le sucer sensuellement comme j’ai l’habitude de pratiquer cette caresse, mais j’ai immédiatement compris que ce n’était pas ce qu’il attendait lorsqu’il a maintenu fermement ma tête avec ses mains de façon à la rendre immobile. Il alors agité son bassin comme s’il prenait une chatte : il ...