1. Mon Ami (01)


    Datte: 11/06/2018, Catégories: hh, copains, volupté, Masturbation intermast, Oral

    ... réveillais vers sept heures, je me penchais du haut de la mezzanine et vis mon ami torse nu en jean en train de préparer du café puis alimenter en bois la cheminée. J’enfilais mon slip, inspectais les draps auréolés de sperme sec, peu fier, et descendais le rejoindre. Il me sourit et me dit bonjour m’indiquant que le café était prêt. Paul me charria sur mon éjaculation nocturne en me demandant si c’était lui qui m’avait excité comme ça ! Je bafouillais une connerie en guise de réponse en rougissant, comme un gamin prit en flagrant délit de masturbation. Il se reprit tout de suite en me disant que cela lui arrivait aussi souvent pour me déculpabiliser. Il s’adossa au comptoir de la cuisine un bol de café à la main, avec un air triste. Je ne pus m’empêcher de le trouver beau. Paul faisait partie de ces hommes qui possèdent une allure sensuelle, un charme naturel subtil et troublant. Son chagrin et sa déprime me peinaient. Il m’informait des fortes tombées de neige de la nuit risquant de nous bloquer si la tempête persistait. De toute façon tant qu’il neigeait nous ne pouvions sortir. Paul mit de l’eau à chauffer pour que nous puissions faire notre toilette et prendre un bain. Il pris deux manicles et transporta la lourde bassine d’eau bouillante pour la déverser dans la baignoire où la neige mise la veille avait fondu afin de la tiédir. Il trébucha sur une lame de plancher et s’ébouillanta les mains malgré les protections en tissu, en poussant un hurlement. J’accourais et ...
    ... lui enlevais les manicles trempées et fumantes de vapeur. Ses deux mains étaient bien brûlées et cloquées. Il trempa ses mains dans l’eau froide pour calmer la douleur et m’indiqua la boîte à pharmacie à prendre sur une étagère. J’aurais aimé qu’il voit un médecin mais nous étions complètement bloqués par la neige. Je pus téléphoner à un toubib qui m’indiqua exactement ce que je devais faire. Heureusement la boîte à pharmacie comprenait tous les médicaments nécessaires aux premiers soins. Je lui appliquais généreusement un gel gras spécial pour brûlures puis un bandage stérile sur chaque main. Paul avait maintenant une allure de boxeur avec ses bandes aux mains et je ne manquais pas de le taquiner un peu. Je pris le relais de toutes les tâches, Paul ruminant et rageant de plus rien pouvoir faire, restreint à une dépendance absolue. Je préparais le déjeuner. Au moment de passer à table je m’aperçus que j’allais devoir donner à manger à Paul étant incapable d’attraper quoi que ce soit avec ses moufles de momie. Je le nourrissais donc, morceau de viande un par un, cuillère de yaourt une par une. Je trouvais cette entraide magnifique obligeant mon ami à une humilité totale. Il me remercia de notre amitié. Je lui redonnais des médicaments pour calmer la douleur qui le lançait un peu. Il me regarda gêné et me dit qu’il avait envie de pisser. Je n’avais pas songé à ce détail. Je le charriais en lui expliquant les limites de l’amitié en rigolant et lui tapant sur l’épaule. Paul me ...
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