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Mon Ami (01)
Datte: 11/06/2018, Catégories: hh, copains, volupté, Masturbation intermast, Oral
... précéda, sortit sur le perron et se mis face à la montagne qu’on devinait difficilement à cause des flocons abondants. Ses pieds nus étaient dans la neige et semblaient insensibles au froid, les flocons adhéraient aux poils de son torse et se posaient délicatement sur ses épaules et ses cheveux courts. Je lui déboutonnais son jean et ne fut pas surpris de voir qu’il ne portait pas de slip dessous. Je lui attrapais la bite, le décalottais et lui demandais d’y aller… je tenais son pénis gauchement de deux doigts comme si c’était la première fois que j’avais un pénis dans la main ! Il me sembla lourd et était effectivement plus épais que le mien. Il urina un jet dru fumant qui maculait de jaune la neige. Une fois terminé je le secouais de quelques allers et retours pour extirper les dernières gouttes puis replaçais le paquet dans son jean avant que l’oiseau ne prenne froid. Je lui dis que c’était la première fois que je touchais une bite d’homme autre que la mienne. Il me répondit en rigolant qu’il y avait un début à tout. On rentrait vite se réchauffer sur le tapis de vache normande devant la cheminée. Je mis de l’eau à chauffer et la déversai dans la baignoire. Une fois l’eau du bain chaude je déshabillais à nouveau mon ami. Je l’observais, le regardais, l’admirais. Je le trouvais beau. Son torse velu me fascinait. Je remarquais la peau claire et veinée de son sexe. Son corps m’attirait. Il entra dans l’eau avec langueur, s’assit en prenant soin de ne pas mouiller ses ...
... pansements en gardant les mains en l’air comme si je pointais un flingue sur lui ! Il ferma les yeux et décompressa. Je le shampooinais en massant son cuir chevelu pour le détendre. Il semblait apaisé, gémît de plaisir et balbutia : — Humm que c’est bon ! Je le rasais ensuite en lui appliquant une mousse sur sa barbe avec un blaireau. Je vivais un plaisir inattendu à m’occuper de lui. Je ressentais le besoin de lui donner de l’affection. Son visage m’était offert. Ses yeux restaient fermés. La lame coupait tous ses poils de barbe et adoucissait sa peau. Il m’invita à le suivre pour profiter de l’eau pendant qu’elle était encore tiède. Je me dévêtis, nous servis une bière (un verre pour deux suffisait puisque c’est moi qui devait porter le verre à sa bouche !) puis entrai dans le bain en demandant à Paul une petite place, la baignoire étant un peu juste pour deux ours comme nous. Je n’avais jamais ressenti une telle amitié et une complicité masculine aussi poussée. On se sentait bien et heureux. Je l’observais en silence et ne comprenais pas comment Gabrielle, sa femme, pouvait ne pas se satisfaire de l’homme que j’avais sous les yeux et qui me semblait parfait. Je pris le savon et commençai à le savonner, Paul se leva pour me faciliter la tâche. Je sentais ses poils se mêler à la mousse et trouvais sa peau douce. Cette sensation tactile me troublait, je prenais plaisir à toucher son corps d’homme. Les aisselles, le dos, son torse, ses cuisses, ses orteils… tout y passa. Je faisais ...