1. Mon Ami (01)


    Datte: 11/06/2018, Catégories: hh, copains, volupté, Masturbation intermast, Oral

    ... moi. J’aimais le toucher. Sa bite dégageait une puissance incroyable. Au moment fatidique il saisit ma main et m’accompagna dans mon geste de va-et-vient pour amplifier la jouissance. Il éjacula à grand jets, soulagé et assouvi. Je me masturbais frénétiquement et violemment ensuite sous son regard vif et éjaculais aussi, repu. Je nous essuyais avec plusieurs kleenex devant la quantité de sperme que nous avions émise à nous deux. On compara nos bites comme deux gamins en rigolant. Il me remercia. Je haussais les épaules. Puis il me dit sèchement : — Je ne suis pas pédé mais me sens attiré par toi. J’ai rarement eu un orgasme si puissant. Je gardais le silence troublé aussi par mes sentiments, ne sachant plus quoi penser non plus. Je confondais mes affects et mes fantasmes dans un amalgame torride. Je m’affalais sur ma taie d’oreiller et restais les yeux ouverts. Je n’arrivais pas à dormir. Je m’approchais du visage de Paul, attiré comme un aimant malgré moi et frôlais ses lèvres contre les miennes. Sa peau me semblait d’une douceur incroyable. Je m’éloignais dès qu’il voulait m’embrasser, puis revenais effleurer ses lèvres. Je cédais, il ouvrit la bouche et m’embrassa lentement, nos langues se caressant, nos salives se mélangeant. Je l’embrassais avec emportement. Une extraordinaire tension nous galvanisait. Nous nous perdions dans l’hallucination du désir, frémissants dans l’attente de l’étreinte prochaine. Il se baissa et prit mon pénis en bouche avec enthousiasme, ...
    ... rétractant le prépuce avec sa langue. Il me suça à la perfection comme personne ne m’avait jamais sucé auparavant sachant s’arrêter quand il fallait pour éviter une jouissance trop rapide, titillant les points les plus sensibles, ses lèvres allaient et venaient le long de la hampe m’avalant totalement, je chavirais totalement. Je lui fis de même découvrant de nouvelles sensations. J’humais les émanations musquées de son sexe. Nos corps en sueur se frottaient. On s’envolait dans un amour bestial éperdu. Je m’appropriais son pénis. On jouissait ensemble dans un nimbe d’extase unique et une empathie parfaite. Paul s’endormait ensuite et s’abandonnait sur mon épaule. Le lendemain on téléphonait au chasse neige du village voisin pour dégager la route jusqu’au chalet, la tempête de neige ayant terminé de nous couvrir de ses flocons et de nous isoler. Après avoir chargé la voiture et fermé le chalet nous repartions vers Paris. On rigolait aux larmes lorsque je dus le faire uriner publiquement aux urinoirs d’une station service d’autoroute devant le regard amusé de routiers et voyageurs mâles. Lui et moi n’avons jamais raconté à nos femmes ce qui s’était passé entre nous ni n’en avons d’ailleurs reparlé entre nous. J’ai vécu ces deux jours comme une parenthèse inexplicable et nécessaire dans ma vie. Un fantasme réalisé. Quelques mois plus tard Paul rencontra Emma, une très jolie femme avec qui il s’installa. Nous continuons de courir ensemble régulièrement tous les jeudis, véritable rituel ...
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