La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1175)
Datte: 12/06/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... caresser les seins et pinceter ses tétons dressés. Il lia ainsi ses bras croisés dans le dos, joints l'un contre l'autre, sans trop serrer, juste ce qu'il faut. Ainsi Carole, si besoin saurait se libérer sans son aide en luttant ou en usant la corde contre un arbre ou un objet tranchant. De plus quand, tantôt, le fantôme lui lia ses bras, Carole ne l’aperçut pas, elle vit simplement une corde évoluer dans le vide et se diriger derrière elle. Carole sentit la corde se nouer à ses bras et poignets, elle sentit aussi le toucher de cette main glaciale et invisible qui caressa sa poitrine et comprimer chacun de ses tétons excités. Quelle sensation bizarre et excitante de sentir le toucher froid d’un fantôme sans l’apercevoir … Carole expliquai la suite à Sandra : - La sensation de cette soumission, quand il me toucha et m'attacha... fut d'un érotisme troublant, excitant et me donnant envie qu'il me caresse, m'embrasse et me prenne là tout de suite tellement je mouillais de plaisirs dans mon bas-ventre. Seulement, il tenait à ce que je lui prouve mon irrévocable et absolu désir d'être Sa servile chienne. Cette épreuve qu'il exigeait de moi, n'était rien comparée aux mille autres qu'il aurait pu m’exiger. Il n'appartenait qu'à moi seule d'aller plus loin ou de tout arrêter. Alors, avec souplesse et habilité, je me relevais et m'avançais avec angoisse vers la porte ouverte, hésitante à emprunter à nouveau ce couloir ténébreux, moins par la peur du noir que par l'état en ...
... décrépitude de l'endroit, avec son sol miné, aux carreaux déjointés, jonché de débris de verre, de plâtre et de ciment, de moisissures et je ne sais quoi d'autre... Surtout à présent que j'étais pieds nus et sans l'aide d'aucune lumière. C'était assurément là une épreuve supplémentaire. Je me retournai donc vers la chaise et les yeux baissés, pour demander humblement : - S’il Vous plait, Maître ... (c'était la première fois que j'appelais Monsieur le Marquis ainsi, à haute voix et ce simple mot me faisait frissonner de partout car ce qu'il signifiait et impliquait dans ma nouvelle relation avec Lui...) S’il Vous plait, Maître, pouvez-vous ouvrir et éclairer mon chemin... Je demeurai ainsi un long instant dans un silence absolu où juste des craquements lugubres de vieilles poutres se firent entendre de temps à autre. Et dans l'attente d'une réponse, d'un signe, mais en vain. Déçue, croyant déjà devoir emprunter ce sinistre et dangereux couloir dans son état lamentable au risque de tomber ou de me blesser, je me retournai à nouveau. C'est qu'alors qu'à ma grande surprise, je me retrouvai comme dans un film fantastique ou d'horreur... car devant moi de manière surnaturelle et angoissante, comme sortant des murs et du sol une brume grise bleutée enveloppait tout le couloir. Et flottant à hauteur d'homme, de part et d'autres du même couloir, des chandeliers suspendus dans le vide apparurent, tous aux hautes bougies effilées et enflammées. Ces candélabres étaient disposés telle une haie ...