1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1175)


    Datte: 12/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... au loin par la fin de l’orage. Aussi surprenant que ce soit, de l’extérieur, j’aperçus les lumières de la pièce du rez-de-chaussée devant les hautes fenêtres à laquelle je passais, s'allumer brusquement, illuminant ainsi mon chemin. Lumières éphémères car elles fusèrent juste pour s'éteindre aussitôt une fois mes pas m'ayant menés devant les fenêtres des autres pièces qui à leur tour tel un éclairage automatique, chassaient brusquement l'obscurité qui y régnait jusque-là. Je fus très troublée d’apercevoir dans plusieurs autres pièces éclairées le temps de mon passage, de lugubres silhouettes furtives de nobles habillés disparaitre aussi vite qu’elles m’apparurent... A travers les carreaux, j’ai même vu un peu plus distinctement deux hommes en train de fouetter une femme nue et attachée, je suis certaine d’avoir reconnu un ancêtre du Marquis d’Evans, à la ressemblance, qui était en présence du … Marquis de Sade ! Oui je l’ai bien vu et reconnu, c’était lui, j’en suis sûre, juste avant qu’ils ne disparaissent… Je suis persuadé d’avoir vu son fantôme, tu te rends compte Sandra, le fantôme du fameux Marquis de Sade … Les mains liées dans le dos, toujours frissonnante de froid, je m'avançais ensuite à petits pas, n'osant relever la tête, longeant toujours le tour de la bâtisse, ayant l'étrange impression humiliante d'être observée par Lui, mais également par plusieurs autres personnes à travers lesdites fenêtres, peut-être par celles que j’avais entraperçues furtivement. À ...
    ... cette idée, mes joues s'empourprèrent, me sentant excitée d'être complètement dénudée à m'exhiber ainsi devant Lui, et peut-être devant d'autres fantômes. Honteusement, je sentis les lèvres de mon sexe s'humidifier. Je ne pouvais nier le plaisir pervers que j'éprouvais à vivre cette insolite expérience... Parfois il y avait des murs aveugles sans fenêtres et ainsi je découvrais qu’en m'avançant, et avec bienveillance, le fantôme de Monsieur le Marquis m’éclairait par des chandeliers toujours suspendus en l’air, comme ceux que je vis à l’intérieur, pour illuminer l'allée de graviers faisant le tour ou presque de Sa Demeure. Ces candélabres étaient encore en place quand de l’autre côté du Château, je retrouvais une série de très nombreuses fenêtres du rez-de-chaussée et offrant de leur lueur jaune-orangé, dansantes au gré de la brise un spectacle grandiose, tout en adoucissant pour mon bien-être l'atmosphère, et gardant éloigné de moi les noirceurs de la nuit. Puis quelle fut ma surprise quand l'espace d'un très long instant encore, ce que je vis de dehors et toujours au travers les grandes fenêtres donnant dans la Grande Salle de bal toute éclairée, me ramena au temps des rois et des hommes aux perruques blanches poudrées. Je me serai cru dans La très grande et si célèbre référence du film satirique d’épouvante, le grand chef-d’œuvre de Roman Polanski ‘‘Le Bal des Vampires’’. En effet sous mes yeux effarés, une scène d’une soirée de bal entre nobles se déroulait devant mes yeux ...