1. Black Angel Vs Papillon De Nuit (6)


    Datte: 13/06/2018, Catégories: Lesbienne

    ... inversera." — "Merci, maman. Je pense descendre voir papa ; n’hésite pas à m’appeler en cas de besoin." Je me trouvais en haut des escaliers et je me mis à rougir. Mes jambes tremblaient de plus en plus à mesure que je descendais. La porte des toilettes n’était plus qu’à à peine 50 centimètres de distance, et plus je me rapprochais d’elle, plus je me sentais excitée. Je vis mon père plongé dans ses préparations pendant que la radio diffusait une musique criarde. J’avais une boule au ventre, j’avais chaud, je haletais, tout mon corps tremblait comme une feuille, je me sentais mouiller très fort. Je déglutis, la gorge serrée, posai le bout des doigts sur la porte des toilettes et grattai le plus discrètement possible afin d’annoncer ma présence à Océane. La porte s’ouvrit en silence presque aussitôt, et je me jetai sur Océane, la plaquai presque violemment contre le mur, fermai doucement la porte, la verrouillai, et l’embrassai fougueusement en plongeant directement la main dans son pantalon qui était déjà ouvert. Elle ouvrit mon jean d’un seul geste et y plongea également sa main. La situation était si excitante que c’en était palpable. Nos mains s’agitaient dans un concert de soupirs étouffés par nos baisers, car les sensations étaient déjà intenses. Nous ne pouvions que nous permettre de murmurer, afin de n’alerter personne. — Je savais que tu viendrais ! m’informa-t-elle. Par jeu, je décidai de la traiter comme une cliente pendant notre jeu intime, tout en me collant ...
    ... contre elle. — Avez-vous trouvé facilement, Mademoiselle ? — Ouiii, très ! — Et le service, en êtes-vous satisfaite ? — Oooh oui, en tout point ! — Et qu’avez-vous pensé de vos plats ? Étaient-ils à votre goût ? — C’était un vrai régal ! Mes compliments au cuisinier ! — Je le lui dirai, soyez en sûre ! Et votre dessert, l’avez-vous aimé ? Je me sentais devenir complètement folle. Toute réalité n’existait plus, il n’y avait plus qu’Océane et moi, deux jeunes femmes qui se masturbaient l’une l’autre comme des folles dans les toilettes d’un traiteur asiatique. Je ne contrôlais plus mes gestes ; je lui mordillais le cou, ce qui, d’après ce que je ressentais au bout de mes doigts, lui plaisait beaucoup. Le goût de sa sueur et de son parfum mélangés formaient un puissant aphrodisiaque qui me donnait des vertiges. — Oh, mon Dieu... souffla-t-elle. Je crois que j’ai jamais eu un dessert aussi succulent de toute ma vie. — Ce dessert, ainsi que ce type de service, n’est réservé qu’à très peu de gens : vous pouvez vous estimer très chanceuse. — Je... je suis plus que gâtée ! — Avez-vous... une suggestion par... particulière pour votre prochaine vis... visite ? hoquetai-je. — Je... n’arrive plus à réfléchir ! — Merde, moi non plus ! J’enfouis ma tête dans le cou d’Océane ; c’était trop bon, j’étais sur le point de venir, ça allait être vraiment fort. Nos mains s’agitaient de plus belle ; je sentis ma partenaire vibrer, je l’entendis ronronner, j’allais avoir un orgasme extraordinaire. Je me ...