Black Angel Vs Papillon De Nuit (6)
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
Lesbienne
... sentis fondre sous ses doigts. Quel bonheur ! — "Fran ?" La voix de ma mère qui m’appelait de l’étage du dessus nous interrompit brusquement alors que nous étions à quelques secondes de l’extase. Je ne pus pas m’empêcher de lâcher un "Merde" étouffé, la mâchoire crispée après un soupir de frustration. zmizkkbo — "Oui maman ?" — "Peux-tu remonter, s’il te plaît ? On a encore un peu de monde." — "J’arrive immédiatement !" Je regardai ma partenaire. La frustration se lisait dans ses yeux, malgré son petit sourire. Je ne devais pas être mieux lotie. J’adore ma mère, mais là, je la détestais au plus haut point. Bordel, elle ne pouvait pas attendre encore ne serait-ce que trente petites secondes ? — Le devoir t’appelle, on dirait ! dit-elle, haletante, le visage tout rouge et en sueur. — Je te demande pardon, dis-je en posant mon front sur le sien. — C’est pas grave ; je passe te chercher ce soir, si tu veux. Tu finis à quelle heure ? — 21 heures. — OK ! Allez, dépêche-toi ! dit-elle en se réajustant rapidement. Je fis de même, l’embrassai rapidement, remontai, et après m’être lavée les mains, j’aidai maman à servir le bon nombre de clients qui étaient entrés. Cette sensation de frustration m’était difficilement supportable, et je ne pouvais pas m’empêcher d’en vouloir à ma mère. Le soir venu, à 21 heures tapantes, je quittai mon lieu de travail. Sur la route, je vis ma partenaire me rejoindre. Nous avons effectué la fin du trajet ensemble. Dans le hall de l’immeuble, la lumière ...
... était encore allumée et nous nous sommes hâtées de monter. Lorsque nous sommes arrivées à notre étage, la lumière s’est brutalement éteinte à cause de la minuterie, nous plongeant alors dans l’obscurité la plus totale. Océane s’est précipitée sur moi et a plongé sa main dans mon jean sans aucune autre forme de procès. J’ai fait de même, et nous nous sommes retrouvées à nous caresser l’une l’autre exactement comme nous avions procédé dans les toilettes plus tôt dans la journée. Avec la frustration sexuelle alliée à l’idée de nous faire surprendre à tout moment, l’excitation est revenue incroyablement vite. Nos baisers étouffaient difficilement nos gémissements et longs soupirs de plaisir. Ma bouche mordillait à nouveau le cou d’Océane qui avait posé sa tête sur mon épaule. Je pouvais me repaître de son délicat parfum de violette. Je la sentis se raidir, plaquer fortement sa main libre contre sa bouche et étouffer un long râle de bonheur qui se serait entendu dans tout le voisinage. Lorsque mon orgasme m’a à mon tour terrassée, j’ai moi aussi difficilement pu l’étouffer avec ma main, mais mon corps a tremblé pendant un long moment. Après un fantastique baiser, elle m’invita à entrer chez elle. — Oh mon Dieu, qu’est ce que ça fait du bien ! déclara-t-elle, soulagée. — Je te présente encore toutes mes excuses pour l’incident de ce midi, mais... — C’est pas grave, ne t’en fais pas ! Elle m’enlaça tendrement. — Mais hélas, j’ai une petite mauvaise nouvelle à t’apprendre. — Laquelle ? ...