1. Le journal d'Aureline 2


    Datte: 16/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Lesbienne

    ... résistante. » Elle fait quelques mouvements dans les airs et la badine siffle lugubrement. « Je ne veux surtout pas que tu penses m’avoir déplu et que ce qui va suivre résulte d’une attitude inacceptable. Ton comportement, cependant, n’est pas exempt de défaut. Tu n’aurais pas dû reculer à l’approche de la cravache. Je dois te corriger pour cela. Il faut également que, quand je te menacerai d’une punition, tu saches à quoi t’attendre. Je vais te donner dix coups. Ni trop forts, ni trop faibles. Tu vas devoir compter, sans trembler, à chaque fois que la baguette touche ta peau. Si tu t’arrêtes de compter, si tu bouges ou si tu te trompes, je recommence depuis le début. »A peine a-t-elle fini sa phrase que la baguette siffle à nouveau mais, cette fois, elle claque sur mes fesses. Je crie. « Un coup d’essai. Il ne compte pas, tu n’étais pas prête ». Elle frappe à nouveau. Je dis « une ». Deux. Trois. Entre chaque coup, elle me laisse le temps d’apprécier la brûlure qui suit le choc initial. Six. Sept. La badine revient sur des zones qu’elle a déjà touchées, intensifiant la douleur. Neuf. Dix.Mes fesses sont en feu. Des larmes coulent sur mes joues. Madame F. fait glisser la baguette entre mes cuisses. Elle remonte jusqu’à toucher mon sexe, écartant les grandes lèvres, provoquant un frisson de plaisir. Quand elle me montre l’extrémité de la badine, je constate que le bois est mouillé. « Tu n’étais pas censée apprécier ! »Je balbutie :- Je vous demande pardon Madame.- Nettoie ...
    ... !Je tire la langue et lèche la baguette. C’est tout à fait dégoutant mais je ne peux pas résister. Madame fait de moi ce qu’elle veut.Soudain, elle s’arrête et actionne un interrupteur. Quelques instants plus tard, j’entends la porte s’ouvrir. Je tourne la tête le plus possible pour identifier qui vient d’entrer dans la pièce. Ce que je craignais est arrivé. Javier se tient à deux mètres à peine. Il observe mon corps nu, mes fesses rouges. Comme j’ai honte !- Approche, dit Maîtresse F. à l’homme. Notre petite jument doit apprendre à supporter ta présence et ton contact. Elle a peur mais elle ne peut pas s’échapper et qui sait, peut-être appréciera-t-elle ce qui va suivre ? Allez touche-la, je te connais, tu en as envie.Maîtresse F. a parlé comme si je n’étais qu’un simple a****l de compagnie. Après tout, c’est écrit dans le contrat, je suis son esclave.La main de Javier se pose sur mon dos. Elle est presque douce, il fait preuve d’une délicatesse que je n’avais pas anticipée. Il me caresse et cet acte parait délicieux après le feu de la baguette. Je suis incapable de retenir un gémissement quand il se colle contre moi. Je sens son sexe dur, à travers l’étoffe du pantalon, cogner contre ma cuisse. Ses mains en coupe enserrent mes seins, ses doigts touchent mon ventre, viens, oui, plus bas, je t’en supplie, entre en moi, fais-moi jouir.Non. Maîtresse F. l’arrête. Elle me détache.- Prends le repose-pied là.Elle me désigne une petite banquette basse de style Louis XV couverte d’un ...
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