Cet homme
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
fh,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
strip,
vidéox,
photofilm,
pénétratio,
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gifle,
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confession,
regrets,
fsoumisah,
... cadeau d’anniversaire qu’il voulait m’offrir. Décidément, passer à autre chose s’annonce difficile si je décide de tout ramener à lui. Je me montre souriante, agréable, tout en gardant cette impression de l’ennuyer prodigieusement. À la fin du repas, il me demande d’aller « chercher des capotes à la pharmacie ». — Tu y vas sans sous-vêtements. J’adore cette idée de fille qui monte à la capitale pour se faire tringler et qui est tellement en manque qu’elle va chercher elle-même les préservatifs. Cette pensée me plaît aussi. En revenant, il ne prend même pas le temps de me déshabiller pour me posséder ; à quatre pattes, il soulève ma jupe et s’introduit profondément en moi. À ma grande surprise il y arrive sans mal, je dégouline. Cet homme me fait un effet monstre, j’aimerais tant pouvoir lui appartenir corps et âme… Je file ensuite sous la douche pour me débarrasser de toutes les odeurs de fluides corporels divers et variés qui m’ont recouverte ces dernières 24 h. Mon image dans la glace me fait froid dans le dos ; j’ai l’air fatiguée, étourdie, et surtout je suis couverte de bleus. Mes seins et mes fesses ne sont plus que le reflet de l’œuvre d’un sadique se défoulant sur moi, et même si je sursaute au premier regard, la vue de ce corps maltraité me plaît. Sans m’en rendre compte, il m’a amené en une soirée là où personne n’avait su s’aventurer. Lorsque je sors de la salle de bain, il est assis sur son canapé et tape un article qu’il doit publier pour son travail. Les ...
... lunettes qu’il porte le rendent encore plus sage, et encore plus attirant à mes yeux. Je m’agenouille à ses pieds, enlace ses jambes et pose ma tête sur ses genoux pendant qu’il retire son ordinateur. Je lui susurre : — Merci pour ces heures de plaisir. C’est très fort pour moi. Il me caresse les cheveux et me demande si je veux venir dans ses bras. J’accepte volontiers. Nous regardons un film puis partons nous coucher, chastement. Le dernier jour que nous passons ensemble est froid, sans doute le plus distant si tant est que ce soit possible. Il m’adresse à peine la parole, me faisant clairement comprendre qu’il aimerait que je sois n’importe où ailleurs du moment que c’est loin de lui. J’oscille entre la crainte de lui déplaire et l’envie de lui donner une bonne gifle. J’ai hâte de partir mais à la fois le désir de rester éternellement dans cet ersatz de bonheur charnel. La dernière fois que nous faisons l’amour, ou plutôt que nous baisons comme des animaux, il me gifle sans relâche jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter, puis me sodomise et me laisse en plan après avoir joui. Avant de s’endormir, il me montre le plan pour repartir à la gare avec les nombreux changements de TER et de métro, et me donne les dernières consignes pour partir de l’appartement. Éteindre le rétroprojecteur, fermer la fenêtre de la cuisine, mettre les clefs dans la boîte aux lettres. Je l’écoute tristement établir la liste des choses à faire, pensant que demain matin sera sûrement la dernière fois où je ...