1. vive les fêtes ratées (4)


    Datte: 18/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Résumé des chapitres précédents : 1. Un soir, une sœur aînée revenue d’une soirée ratée surprend son frère Clément en train de se masturber devant des vidéos pornographiques. Après un petit moment de gêne et de moqueries gentilles, Hélène se montre très compréhensive et initie son frère au véritable amour physique, une première réussie qui leur donne envie de continuer. 2. Après des jours et des jours d’attente, les parents des protagonistes laissent enfin leurs rejetons seuls pour aller dîner chez des amis. La soirée commence fort car Hélène veut essayer la sodomie, ce qui est finalement accompli. Les sens apaisés et affamés, ils descendent à la cuisine où ils retrouvent les plats préparés par un petit frère toujours soucieux de bien faire... 3. Après une discussion complice, Hélène demande à son frère de pouvoir le regarder alors qu’il regarde des vidéos pornos, curieuse. Après quelques instants de plaisir solitaire, Clément obtint qu’elle ne reste pas simple observatrice, la belle imposant toutefois ses étranges conditions. De cette soirée merveilleuse, mon cœur et ma caboche eurent besoin de plus de temps pour se remettre que mon service trois-pièces, pourtant bien endolori. Cela avait été tellement bon, profond et tranquille. Un trop court moment d’éternité. Car au retour des parents, le maussade quotidien reprit dans toute sa désolation, rendu même horrible par une conjonction de facteurs qui saignait à blanc nos instants libres tel un odieux vampire. Cela avait été ...
    ... tout d’abord notre chère mère qui recommença à souffrir d’une de ses crises de tendinites chroniques. Ses douleurs lancinantes à la hanche la conduisaient à rester à la maison, de mauvaise humeur et dépendante de nous pour les tâches domestiques. Un jour, elle faillit nous découvrir ensemble sur mon pieu, nous contraignant à abandonner par sécurité nos séances de massage. Puis Hélène se transforma en assistante sociale au bénéfice d’une de ses grandes amies, qui - parait-il - morflait méchamment de la séparation de ses parents... J’avais parfois l’impression qu’elle fuyait surtout l’atmosphère et les devoirs de la maison, mais ce devait être mon côté aigri qui me faisait interpréter les choses sous cet angle. Car moi, dans tout ça, je devais faire bêtement face à des difficultés scolaires certaines. Lorsque j’avais été dans l’attente de cette soirée où j’avais pu posséder Hélène de toutes les manières possibles, j’avais cru que mon incapacité à me concentrer sur mes cours était due à ma seule impatience. En fait, cet état semblait plutôt parti pour durer et mon cerveau n’arrivait plus à imprimer d’autres choses que des pensées incestueuses, qui alternaient entre la béatitude profonde et l’amertume insatisfaite. La plupart du temps, je réalisais pleinement ma chance : une fille fantastique m’avait déniaisé, une belle blonde que j’aimais depuis ma naissance. Mais j’avais beau être heureux, les sentiments de frustration, d’attente fébrile me bouffaient le crâne. Quand je voyais ...
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