1. vive les fêtes ratées (4)


    Datte: 18/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Hélène au lycée, je ne pouvais pas aller l’enlacer comme les autres couples le faisaient. Je ne pouvais parler d’elle à personne. Une angoisse, diffuse aussi, venait me visiter plus souvent qu’à son tour. C’était juste trop beau pour durer. Même si Hélène me rassurait de la plus aimable manière, m’embrassant au détour d’un couloir ou me laissant la caresser lors de nos trop rares moments d’intimité, je me faisais des films catastrophes non-stop. Entre un beau gosse m’enlevant ma sœur, un scandale né de notre découverte ou autre, les possibilités de fin cruelle étaient multiples. Du coup, à ma troisième note scolaire voisine de la température moyenne de Strasbourg au mois de décembre, mes parents, prévenus par un prof, me secouèrent les cloches et me menacèrent logiquement de réduire mon argent de poche et mes autorisations de sorties. Par bonheur, Hélène était dans le coin et intervint avec brio et autorité : — Attendez, ses prochaines interros, c’est de l’angliche et de la bio. Je vais le faire bosser... Allez, on va dans ta chambre Clément. Mes parents s’attendaient à me voir protester par fierté, mais j’acceptais avec empressement, ce qui fit afficher une mine perplexe à mon père. Ma mère hocha, elle, positivement la tête et expliqua : — Très bien... enfin chéri, tu n’as pas remarqué qu’ils se chamaillent moins ces derniers temps ? C’est bien de grandir les enfants ! Allez, on vous laisse tranquille... Ainsi nanti de la bénédiction maternelle, je suivis ma sœur en ne ...
    ... cachant plus mon sourire dans les dernières marches de l’escalier, les yeux rivés sur le cul d’Hélène. Hélas mon sourire se défit vite alors qu’elle se déroba vite à mon embrassade sitôt la porte refermée. — Bas les pattes, le cancre. Qu’est-ce que tu crois ? — Hein ? Mais... — Qu’est-ce que c’est que ce bordel au lycée ? — Tu vas pas t’y mettre aussi ? — Qu’est-ce qui se passe ?, redemanda-t-elle le plus sérieusement du monde. Merde. Je n’étais pas contre cette belle sollicitude mais un peu plus de lubricité m’aurait convenu aussi. M’enfin... autant profiter de cette oreille. A voix basse je confiais : — Rien, comme je te l’ai déjà dit : c’est juste que j’ai du mal à arrêter de penser à toi en ce moment. Surtout qu’on arrive plus à avoir un moment tranquille ensemble : ou maman est toujours là, ou tu es chez ta copine. — Claire à besoin de moi en ce moment, va pas faire ta jalouse ! — Je sais, je sais, mais c’est pénible, tu es là si proche : à la maison, au lycée... mais je ne peux pas t’approcher et ça me rend marteau. Son expression se fit plus douce et nos lèvres se rejoignirent un instant, puis reprirent leur distance pour permettre à ma sœur de me répondre : — C’est gentil, mais il va falloir quand même reprendre vite fait tes esprits. Tu crois qu’avoir les parents sur le dos, sans thunes, va justement te donner plus de liberté ? — C’est sûr... mais... — Y a pas de mais. On va vraiment bosser. Hélène me fixa un moment, se mordit la lèvre inférieure et ajouta : — Voilà ce ...
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