vive les fêtes ratées (4)
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... qui va se passer ces prochaines semaines : toute note en dessous de la moyenne, tu peux toujours te brosser pour que tu reposes tes mains sur moi. De 10 à 12, tu auras le droit à un bisou. 12 à 15 je te laisse me peloter en prime. 15 à 17 bonus branlette. 17 à 20, je te suce en final. — Hein ? Hélène éclata de rire et je la rejoignis aussi un peu après, à la fois inquiet mais émoustillé. — Tu sais motiver c’est clair, mais ça veut dire qu’en dehors de ça... Mercredi, papa emmènera maman à l’hôpital pour sa consultation, on avait une à deux heures tranquilles, j’avais pensé que... — Formidable, ainsi tu auras plein de temps pour réviser. La note suivante fut donc pour moi l’occasion de constater la fermeté d’Hélène sur son barème. C’était un contrôle fait avant mise en place de ces règles, où j’avais récolté un 11 très moyen, plus grâce à la facilité du sujet et de bons restes qu’un réel travail. Durant l’heure institutionnelle de travail qu’elle m’avait imposé, ma sœur accepta de m’embrasser du bout des lèvres, répondant mollement à mes mouvements de langue et éloignant mes mains dès qu’elles se posèrent sur ses flancs : — Pour 11 c’est tout ce à quoi tu as droit, frangin. On va reprendre les verbes irréguliers en boche. — C’est pas juste, tu vois bien que je suis sur la bonne voie !, je tentais d’argumenter pour l’apitoyer. — Prends-moi pour une conne. Tu aurais dû avoir minimum 15 à ce genre de truc. Tu me fais honte, me dit-elle d’un ton sévère. Ceci dit, elle remonta ...
... son genou assez durement sur mes parties où elle put sentir que j’étais assez raide, tant ce simple baiser suffisait à mon excitation. Ce n’était pas particulièrement violent ni destiné à faire mal, dans mon état de manque c’était même plus une rude caresse, mais je feignis de marquer le coup et compris que je devais faire profil bas. — Bien maîtresse... Je savais que j’aurais dû faire espagnol... Le fait est que ces séances de travail portèrent assez vite leurs fruits : cette proximité et l’attention d’Hélène me sécurisaient sur son intérêt pour moi... et que dire des contreparties qu’elle avait promis... Concentré sur des objectifs clairs, je me mis à bosser comme jamais, finissant par associer mentalement de façon un peu inquiétante travail scolaire et érotisme. Un exo de math bien fait, et j’imaginais la main d’Hélène sur mon torse. Une dissertation rondement menée et je voyais ses cuisses s’ouvrir... J’en vins même à maudire les profs de ne pas organiser plus souvent de contrôle, et surtout, de ne pas les rendre plus vite... et je pense qu’Hélène aussi attendait la bonne nouvelle pour mettre fin à sa propre abstinence, vu la façon dont elle me récompensa pour un très honnête 16. Elle me demanda de patienter une journée, pour pouvoir profiter de la sortie en course des parents : normalement, l’un de nous était habituellement de corvée pour les aider, mais elle plaida admirablement l’impérieuse nécessité de me faire réviser et nos géniteurs acceptèrent même avec le sourire, ...