1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (3)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... accroupie. Nue, à coup de pied dans son cul, son très gros cul, elle rampe presque. Oui, elle ressemble plus à une contrebasse qu’à une femme, mais elle a son charme. Dans la cage, accroupie, elle passe sa tête et ses mains dans les orifices prévus. Je ferme tout, attachant ses genoux de chaque côté de la cage. D’une paire de ciseau, je coupe ses cheveux, c’est son vice, se faire tondre. Devant elle, et elle est gâtée, elle a deux spectatrice pour bien l’humilier. Bien assise, j’encourage mes deux spectatrices à bien se moquer de ma folle de province. Les cheveux tombent sur ses épaules, les insultes fusent, la folle est humiliée et cela la fait mouiller. Une tondeuse, je retire tout ce que je peux avant de la raser intégralement en prenant mon temps. Son cul est ma cible préférée, je le garnis de petites aiguilles, elle pousse de petits gloussement à chaque fois que l’une d’entre elles pénètre très lentement ses fesses. D’une petite baguette de bambou, je frappe ses mains, le creux de ses mains renversées. Elle ne peut les refermer, ses doigts sont solidement attachés à la cage. J’étale la mousse, rase un peu, plante quelques aiguilles, agace ses seins de mon petit bambou pendant quedeux femmes superbes devisent sur elle en se moquant encore plus. Ma folle n’est pas une masochiste, cependant, elle ne déteste pas mes sévices. Elle, c’est une sale, oui, chez moi, elle remplace mes WC pour soulager ma vesse et elle remplace avantageusement le rouleau de papier hygiénique. ...
    ... Elle aussi mon vide ordure, mangeant mes restes de repas dans sa gamelle. Son crâne lisse comme la peau d’un bébé, je relie ses mains à son cou. Dehors de la cage, je l’entraine dans ma salle à manger, sous ma table spéciale. Encore accroupie, les chevilles attachées à ses cuisses écartées, on ne voit que sa tête sortir sur la table, ainsi que ses mains. Sur son crâne, je coule un peu de cire chaude, y pose une bougie allumée, de celle en cire pure. Dans le creux de ses main, c’est deux bougies, bien large. Déjà, la cire coule sur sa tête, ses mains. J’invite Sidonie et Isabelle à s’assoir, boire un verre, toute lumière éteinte. Un apéro à la lueur de bougies, c’est très agréable. Déjà le visage se garnit de cire rouge. Par de petits trous sur la table, je passe de la ficelle avec des nœuds de pendu à l’extrémité de chacune. Je masse ses tétons, y fixe les nœuds que je serre juste ce qu’il faut. Sidonie nous prépare de quoi souper. Isabelle met la table, je soulève les seins de ma folle. Ses tétons viennent à fleur, sur la plateau de la table. « Tu es prête ? Je sais que tu en rêve comme ces aiguilles dans ton gros cul de salope ! » « Monsieur, j’en ai envie cette fois. » « Oui, seulement cette fois. Tu te souviens du mot magique ? » « Oui monsieur. » Sur ses tétons que j’étire encore, je les traverse de deux aiguilles en croix. Elle serre les dents, se mord les lèvres. Le tout devant mes deux gourgandines. C’est la première fois que j’ai des spectatrices qui m’observe, me ...
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