La patronne
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
init,
confession,
inithf,
Quand on est étudiant, on n’a pas toujours le sou et comme les études coûtent cher, il faut bien se soumettre à accepter de travailler. Je ne fus pas en reste et je me présentai un vendredi matin dans un magasin-entrepôt de ce que l’on appelait autrefois « denrées coloniales ». On y stockait, pour les distribuer aux épiceries, des tas de produits exotiques : café, thé, épices de toutes sortes. Je fus reçu par une dame d’environ quarante ans, grande, svelte, élégante, aux courts cheveux châtain, à la poitrine conquérante. Son sourire accueillant inspirait confiance et me mit rapidement à l’aise. Elle me posa des tas de questions sur ma famille, mes études, mes moyens d’existence. Sans doute mes réponses furent-elles satisfaisantes car elle me proposa de commencer le lundi suivant. Le lundi, vêtu d’un costume propre et d’une chemise blanche, bien cravaté, je me présentai à son bureau. Elle m’expliqua longuement le travail qui consistait surtout à veiller à l’approvisionnement des magasins de détail répartis dans la région. Avec un employé plus âgé, je classais les commandes, recherchais les denrées dans les rayons, les emballais et les expédiais. Ce n’était pas monotone et je m’en trouvai vite satisfait, d’autant plus que je ne rencontrais la patronne que le soir à la fermeture de l’entrepôt. Mes vacances se passèrent donc à jouer au marchand de café. Un jour, peu de temps avant la fin des vacances, l’employé que j’aidais tomba malade et je me retrouvai seul à m’occuper de ...
... toute l’expédition. La patronne, qui travaillait à la comptabilité, vint s’inquiéter de la situation. — Ça va ? me demanda-t-elle. Tu t’en tires bien ? Ce n’est pas trop compliqué ? Si tu as un problème, n’hésite pas à m’appeler. Je serai là.— Oui, cela ne va pas trop mal. Je me sens un peu seul. J’espère que Raymond guérira vite car je risque de ne pas m’en sortir au moment des grosses commandes.— Ne t’inquiète pas. Je viendrai te donner un coup de main.— Merci ; mais pour l’instant, je fais bien tout seul.— Comment ? Tu le fais tout seul ? En disant cela, elle me jette un regard où brille une petite flamme coquine. Je rougis et ne réponds rien. — Tu ne parles pas ? Moi, si : il m’arrive de le faire toute seule. Je ne dis toujours rien et n’ose la regarder, tant je suis gêné. J’ai pourtant bien compris son allusion à la branlette. Je ne suis pas né de la dernière lune. Elle non plus d’ailleurs, et j’ai comme l’impression que je suis en train de me faire draguer. — Je t’ennuie avec mes réflexions. C’est quand tu veux. Elle s’en va en tortillant du derrière. Je rentrai chez moi perplexe, me demandant si elle ne cherchait pas un moyen de me liquider si je répondais à ses avances. Je réfléchis toute la nuit et le lendemain, je me remis à l’ouvrage. Je travaillai comme un fou jusqu’au soir et j’évitai de me trouver dans les parages de la patronne. Heureusement, elle passa sa journée avec des représentants et le chef comptable. Je ne la vis pas en partant. Ce ne fut que partie remise. ...