1. La patronne


    Datte: 19/06/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, init, confession, inithf,

    ... transparente, son sexe rose se dessine clairement sous le tissu léger qui en épouse les formes avec une merveilleuse précision. Je reste à regarder la fente bien visible et je sens que ma queue réagit immédiatement. Elle a remarqué la direction de mon regard. — Viens m’aider, dit-elle, au lieu de regarder ma culotte ; il y a plus pressé : ramasser le sucre qui reste. Ma culotte, ce sera pour après ; tu verras tout ce que tu voudras. Je te le montrerai. C’est juré ! J’espère que tu ne le regretteras pas ! Tu pourras même me la retirer toi-même pour voir ce qu’il y a dedans. Je m’empresse de l’aider à nettoyer mais mes mains tremblent et elle s’en rend compte. — Qu’est-ce que tu as ? Tu trembles ?— Ben oui.— C’est moi qui te mets dans cet état ? Je n’ose répondre oui, mais voir une culotte – qu’elle continue à me montrer – cacher une chatte noire à moins d’un mètre de mes yeux m’excite beaucoup. — Je vois ; c’est ma petite culotte qui te fait cet effet. Je me trompe ? Qu’est-ce que ce sera quand je la retirerai pour te montrer ce qu’il y a dedans… Je ne réponds toujours pas. — Pourquoi ne dis-tu rien ? Je te fais peur ?— Un peu. Si je vous le dis, vous allez peut-être vous fâcher.— Voyez-vous cela ! dit-elle en souriant. Un grand garçon qui n’ose pas me dire que ma culotte l’excite. C’est bien cela, n’est-ce pas ?— Oui, vous avez deviné.— Je peux la retirer, si c’est elle qui gêne ta vue. Allons, fait-elle en se relevant, c’est fini. Viens prendre un verre chez moi. Tu ...
    ... acceptes ma proposition, je suppose. Tu n’as plus peur que je sois fâchée contre toi ? Je m’appelle Céline. Tu peux me tutoyer, c’est plus intime pour ce que nous allons faire. Je sens que je bande et ma bite doit se deviner dans mon pantalon. Elle me regarde et sourit. — Ma parole, tu bandes… Ta queue fait une bosse dans ton slip et cela se voit de loin. Regardez-moi ce petit coquin. On dirait que je lui fais de l’effet. C’est vrai ? Tu as envie de moi ? Je ne réponds pas et rougis légèrement. Elle me prend par le bras et nous remontons ensemble à son appartement au-dessus de l’entrepôt. Elle me fait entrer dans un salon cossu à l’atmosphère chaude et m’installe dans le divan recouvert de velours grenat. Les fenêtres sont protégées par de longs rideaux blancs et des tentures du même tissu que le divan et les fauteuils. Sur le mur d’en face est accroché un tableau représentant un satyre lutinant de près une jolie nymphe aux seins généreux. Elle s’éclipse en s’excusant. Mon cœur bat d’énervement et je ne sais quoi faire de mes mains. Je sens bien qu’il va se passer quelque chose et cela me met mal à l’aise. Elle revient avec un plateau de boissons et de biscuits qu’elle dépose sur la table basse. Elle me présente un verre déjà plein et la corbeille de biscuits. Elle a ôté sa robe à fleurs et passé une courte jupette en corolle et un corsage transparent à moitié boutonné qui bâille sur ses seins largement découverts. Les mamelons percent le tissu léger. — À ta santé ! Et merci pour le ...
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