La patronne
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
init,
confession,
inithf,
... Deux jours plus tard, elle vint me trouver alors que j’étais en haut de l’échelle à roulettes. Je cherchais du café de Cuba, remisé sous le toit de l’entrepôt. — Qu’est-ce que tu fais là-haut ? Tu vas te tuer ! Veux-tu bien descendre. Que je ne t’y reprenne plus ! As-tu compris ? Je ne suis pas assurée contre les sottises de mes employés. Quand j’arrivai en bas de l’échelle, elle me regarda avec un œil faussement courroucé. — Ne recommence plus. Je préfère monter moi-même. Allez ! Tiens l’échelle, je monte. Elle grimpe allègrement pendant que j’assure son ascension. Elle m’interpelle et, instinctivement, je lève la tête au moment où elle se penche vers moi. Nos regards se croisent. Je baisse les yeux mais elle me rappelle. Évidemment, je vois ses cuisses bien haut, jusqu’à sa culotte rose. Je rougis mais elle ne m’a pas vu. — Attrape ça ! Et tiens bon, je descends. Je saisis au vol les kilos de café de Cuba puis, les ayant posés à terre, je reprends les montants de l’échelle. Arrivée presque à ma hauteur, elle s’arrête. — Tiens-moi, j’ai ma chaussure qui se sauve. Prends-moi à la taille. Ce que je fais. Elle continue à descendre et se laisse glisser si bien que mes mains, sans que je le veuille, saisissent sa poitrine. Elle se laisse aller. — Ah ! Merci ! Heureusement que tu étais là, sinon je crois que je serais tombée. Et alors, tu as senti comme mes seins sont durs ? Je reste muet. Je comprends qu’elle l’a fait pour m’éprouver. — Tu ne dis toujours rien. Tu es devenu ...
... muet ? C’est le fait d’avoir touché mes seins qui te met dans un tel état ? Je ne savais pas que je pouvais faire un tel effet sur quelqu’un. Eh bien ! Je suis contente de moi. Si le cœur t’en dit, tu peux remonter avec moi. Tu as bien mérité de prendre un petit remontant.— Merci, mais j’ai encore deux commandes à préparer. Elles doivent partir ce soir.— Tu es une vraie perle. Mais je t’attends pour l’apéritif.— Non, je rentre chez moi : ce soir, j’ai une sortie avec des copains.— Alors, tu préfères guindailler avec des copains plutôt que de passer un moment avec moi ? Ce n’est pas très galant de ta part. Tu fais la fête, et moi je suis toute seule.— Excusez-moi, je ne voulais pas vous fâcher ni vous faire de peine.— Reste, alors. Tu ne le regretteras pas. J’ai de la bonne sangria qui vient tout droit d’Espagne. Et une surprise.— Laquelle ?— Ah ! Non, petit curieux. C’est une surprise ! Si je te dis quoi, ce n’en sera plus une.— Qu’est-ce qu’on va dire chez moi si je ne rentre pas à l’heure ?— Retourne vite ; tu diras que tu as du travail et tu reviens tout de suite. D’accord ? Une demi-heure plus tard, je suis de retour à l’entrepôt. La patronne m’attend devant le rayon du sucre. Elle a renversé un sac et s’occupe de balayer. Elle me voit, s’accroupit et, ouvrant largement ses jambes, me laisse contempler sa fourche simplement couverte de la petite culotte rose un peu lâche au point que de petites touffes de poils presque noirs s’échappent sur les côtés. Comme elle est ...