La patronne
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
init,
confession,
inithf,
... vais jouir si elle continue. Elle s’en aperçoit, serre ma bite à deux mains, colle sa bouche à la mienne pour un baiser plus mouillé que jamais. Sa respiration se fait plus courte, elle ferme les yeux et se serre tout contre moi, pressant ses seins contre ma poitrine. — Oh ! Que c’est bon de te sentir contre moi. Ne jouis pas tout de suite, j’ai tellement envie de ta grosse bite que je sais toute prête à me défoncer la moule et à lui donner ton jus de couilles. Continue à me caresser, je veux jouir avec tes doigts puis avec ta bouche puis avec ta bite. Je veux tout de toi ce soir. Elle s’écarte un peu, lâche ma pine qui reste toute droite. Elle lève sa jupe, me découvrant son ventre blanc et plat. Une tache humide forme une auréole sur le fond de la culotte. — Ôte ma culotte ; je veux te montrer ma chatte.— Oui, j’ai envie de la voir. C’est la première fois que je verrai une chatte de femme.— Vrai ? Je suis la première ?— Ben oui !— Oh ! Que j’ai de la chance ! Que j’en suis heureuse ! Et je mouille encore plus fort, rien que d’y penser. Sens comme je coule de la chatte. Mets tes doigts dedans : tu verras que je ne te mens pas. Et toi, montre-moi ta pine. J’aime bien voir une bite qui bande fort comme la tienne. Je m’écarte d’elle, la laissant m’ôter mon slip. Je me retrouve complètement nu dans ses bras. Je ne tiens plus et, d’un geste rapide mais doux, je fais glisser sa petite culotte qui tombe. Elle l’enjambe, la ramasse et me la met sur le nez. Elle sent bon la cyprine ...
... chaude. Je lui dégrafe sa jupe et lui ôte sa blouse qui suit le même chemin. Elle n’a pas de soutien-gorge. Ses seins haut placés me regardent avec leurs mamelons rose foncé bien plantés sur une aréole légèrement enflée. Je me sens bander encore plus fort. Ma bite est à l’horizontale, presque à hauteur de sa chatte d’un noir un peu brillant. — Tu mets de la brillantine sur ta chatte ? Elle éclate de rire. — Non, pourquoi ?— Je la vois si brillante, comme tes cheveux.— Non, c’est naturel. J’ai toujours eu les poils de chatte brillants. Je me penche et pose ma bouche sur sa toison d’ébène. — Oh ! Oui ! Embrasse-moi là. J’adore quand on me broute le minou. Tu n’es pas jaloux, j’espère ?— Pourquoi veux-tu que je sois jaloux ? Je présume qu’à ton âge, tu n’en es pas à ta première bite.— Oh non, bien sûr ! J’ai commencé jeune ; à quatorze ans, je prenais ma première dans la chatte. J’en étais folle. J’espère surtout que je n’en suis pas à ma dernière. Du moins, je l’espère. Encore que…— Que… quoi ?— Oh rien ! Je me disais qu’à mon âge, même si je me sens souvent des envies d’être baisée, je pourrais facilement m’en contenter d’une.— Tu vas te marier ?— Non : une fois suffit. Je pensais à ta belle queue bien dure. Elle pourra faire l’affaire si tu en as bien l’envie ; parce que moi, je voudrais bien la garder pour moi. Elle rit. — Je suis folle et je rêve tout haut. Vas-y, lèche-moi la moule. Je passe la langue sur la fente ouverte. Elle frissonne. — C’est bon, ta langue… Fourre-la ...