La patronne - Histoires de Sexe

La patronne

... jus à ma moule. Elle en a envie. Ça vient, mon amour, ça vient ! Je vais jouiiiiir ! Je vais jouiiiir ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiii ! Encoooore ! Encooooore ta… bite… me fait jouir ! Je jouiiiiiis ! Ça y est, je jouiiiiiiis ! Vas-y ! Décharge en moi ton foutre chaud ! Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaaah ! Elle soulève son ventre et se colle à moi. Ses yeux se révulsent et ses bouts de seins sont devenus tout violacés et durs comme des cailloux. Elle m’agrippe par les fesses pour me faire pénétrer au fond de son vagin au moment où, en grognant, je vide mes couilles en elle. — Oui ! Je te sens jouir ! Comme c’est booon ! Je jouis encore ! Je reste sur elle le temps de me remettre. Sa respiration est courte, ses yeux me fixent. — Oh mon chéri, qu’est-ce que tu as fait ? Comme j’ai bien joui ! dit-elle en revenant à elle. Reste sur moi, je veux encore te sentir. Quelle chance : ta bite ne débande pas ! Je la sens si grosse dans ma moule. Ne te retire pas. Baise-moi encore. Fais-toi aller vite, vite. Je reprends mon mouvement dans sa chatte, maintenant si trempée que je ne la sens presque plus. Je le lui dis. Aussitôt, je sens les muscles du vagin qui se crispent et ma bite se trouve coincée. Elle joue au casse-noisettes et c’est délicieux de se sentir prisonnier dans une moule. Je la défonce du plus fort que je peux. — Oh ouiiii ! Oh ouiii ! Oh ouiiiiii ! C’est booooon ! Que c’est boooon ! Je vais encore jouiiiir ! Je vais jouiiiiiiir ! Mon amour, mon amour, tu me fais du bien, tu me rends folle ...

... de plaisir. Ouiiiiiii ! Ouiiiiii ! Encore ! Encore ! Encoooore ! Défonce-moi la moule ! Je vais jouiiiiir ! Ça y est ! Ça y est ! Je jouiiiiis ! Ouiiiii, je jouiiiiiis ! Aaaaaaah ! Aaaaaaaah ! Je me glisse contre elle tandis que mon foutre mélangé à sa cyprine s’écoule de sa chatte béante. Céline reste un moment sans réactions, les yeux clos, un sourire satisfait sur les lèvres comme quelqu’un qui vient de trouver le bonheur. Je laisse ma main traîner sur son corps, titillant ses mamelons tout gonflés par les baisers et les caresses. Je la bécote dans le cou puis pose ma bouche sur la sienne. Elle réagit et sa langue rencontre la mienne pour un long baiser plein de désir qui la réveille. — Oh là là ! Oh là là ! Quelle secousse. Deux fois ta bite en un quart d’heure et tout ce que j’ai joui avant en me branlant et avec ta langue sur mon bouton. Je suis épuisée, mais je me sens tellement bien… Prends-moi dans tes bras. Je vais m’endormir près de toi. Il y a si longtemps que je n’ai pas joui comme ce soir et c’est grâce à toi, à ta langue, à ta bouche, à ta bite si dure et si vaillante. J’en ai chaud partout. Si tu savais comme ma chatte est heureuse ! Nous restons ainsi un bon moment à savourer comme un délicieux bonbon les suites du plaisir que nous nous sommes donné. Céline a posé sa main sur ma bite et cherche à lui redonner sa vigueur. Mais j’ai besoin de reprendre un peu de forces si je dois lui faire l’amour une autre fois avant de partir. Nous ne bougeons plus ; sa main ...