1. Aurélie 2


    Datte: 22/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... n’avaleras pas le sperme. Tu le recracheras dans une soucoupe et tu le mettras au congélateur, compris ?- Oui maîtresse.J’eus un pincement au cœur en les voyant partir main dans la main. Je me rendis dans ma chambre, m’étendis sur le lit et finit par m’endormir. La sonnette de la porte d’entrée me réveilla en carillonnant avec insistance. Je me précipitai, les yeux bouffis de sommeil. Un homme était là, avec un chariot contenant les petits fours. Pendant qu’il remplissait le frigo, je détaillais l’homme que j’allais devoir sucer. Il était gros, très gros, mais à priori propre. De toute façon, propre ou pas, il fallait que je m’acquitte de ma tâche. Je l’entraînai dans la cuisine où j’avais déjà disposé une soucoupe. Je m’agenouillai devant lui, fit glisser son pantalon et son slip sur ses chevilles. Il bandait déjà. Il était donc au courant du pourboire que je devais lui donner. Je regardai sa queue. Elle était plus courte mais plus épaisse que celle de mon maître, avec une grosse veine sur le dessus et un gland écarlate d’où suintait déjà un peu de liquide. J’embouchais la bitte et me mis à pomper. Elle m’emplissait la bouche et il donnait de petits coups de reins pour s’enfonce plus encore. Pendant que je le suçais, il faisait ses commentaires :- Ah, la salope, elle me pompe bien… qu’est-ce qu’elle suce bien … je vais t’en mettre plein ta gueule de salope…Il ne tint pas longtemps et il jouit dans un râle. Il avait toutefois dit la vérité. Il m’en mit plein la bouche. ...
    ... Pendant qu’il s’essuyait avec un torchon, je recrachai la semence mêlée à ma salive dans la soucoupe, puis mis le tout au congélateur. L’homme s’en alla sans même un au revoir, gêné.Je fis un peu de toilette et, comme il était encore tôt, je pris mon temps pour préparer le cocktail de mes maîtres. Totalement nue dans l’appartement, je vaquais à mes occupations quand j’entendis l’ascenseur. J’écoutai et me rendis vite compte qu’il s’arrêtait à notre étage. Je regardai l’heure, dix-huit heures. Ce devait être mes maîtres. Je me rendis dons dans le couloir et me mis en position. Bientôt la porte s’ouvrit sur eux. Véronique me lança, sans même me regarder.- Viens me laver et m’habiller, il est temps.- Bien maîtresse.Je me levai et la suivis dans la chambre. Là, elle s’assit sur le lit, me tendant ses pieds. A genoux devant elle, je défis les lanières de ses hauts talons et retirai ses chaussures. Mue par un réflexe, je me penchai alors et embrassai ses chevilles. En souriant, elle me dit :- N’aie crainte, tu auras bientôt l’occasion de t’en occuper. Pour l’instant, aide-moi à me déshabiller.Je l’aidai à quitter sa robe, puis son soutien-gorge et sa culotte. Lorsqu’elle fut nue, elle se dirigea vers la salle de bain où je dus la laver. De retour dans la chambre, je l’aidai à passer la tenue qu’elle voulait mettre, un soutien-gorge balconnet, un string assorti, un chemisier en tulle quasi transparent et une jupe ample. Elle me fit lui chausser des ballerines crème. Ensuite, je dus lui ...
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