1. Aurélie 2


    Datte: 22/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... coiffer longuement sa longue chevelure blonde. Quand elle estima que cela suffisait, elle me renvoya rudement :- Va te préparer, souillon, et n’oublie de venir te faire voir auprès de moi.- Bien maîtresse.Je traversai le couloir pour me rendre dans ma chambre. Après m’être rafraîchie, j’enfilai la culotte prévue, puis mon chemisier sans manche et ma jupe. En me regardant dans la glace, de côté, je m’aperçus que ma poitrine se voyait lorsque je bougeais le bras. Ainsi, c’était pour cela que mon maître me les avait achetés. Sans plus attendre, je mis en place les seaux à champagne, les coupes. Lorsque ma maîtresse vint dans la pièce, je lui montrai ma tenue, qui sembla beaucoup lui plaire. La forme de ma culotte, dont la ceinture se trouvait au-dessus de ma taille la fit rire, puis elle me congédia :- Les invités vont arriver. Va les accueillir.- Bien maîtresse.J’allai me place près de la porte afin d’entendre l’ascenseur arriver. Je n’eus pas longtemps à attendre. La sonnette retentit aussitôt. Ce furent monsieur et madame Mercier qui arrivèrent les premiers. Puis ce fut le tour de monsieur et madame Merck. Le dernier arrivé fut Philippe Delsol. De tous les hommes, ce fut le seul à me saluer. Autant les femmes n’eurent aucun problème, autant les hommes semblèrent gênés en ma présence. Lorsqu’il fut passé dans le salon, je vins aux ordres.- Tu peux servir boniche.- Bien, maîtresse.Je me rendis à la cuisine et sortis le premier plateau de petits fours. Lorsque je vins les ...
    ... présenter aux invités confortablement assis dans le salon, je faillis oublier la consigne de ne pas plier les genoux pour servir. Mon moment d’hésitation n’échappa pas à Véronique qui me fit les gros yeux. Je me penchai donc pour servir les petits fours. Je savais que derrière moi, tous ceux qui y étaient pouvaient voir ma culotte. Je la sentis s’humidifier au fur et à mesure de la soirée, en même temps que les regards sur mes fesses se faisaient plus insistants. Devant, lorsque je me penchais, le décolleté laissait voir la totalité de mes seins, les aréoles et les pointes tendues comprises. Je remarquai que ma situation semblait plaire davantage aux femmes qu’aux hommes. Ceux-ci semblaient mal à l’aise vis-à-vis de moi.La soirée s’allongeant, les langues commencèrent à se délier et la conversation vint tout naturellement sur moi. Je dus me mettre à genoux au milieu de l’assemblée, cuisses écartées, mains sur la tête et répondre aux questions.- Cela vous plait d’être utilisée comme cela ? demanda madame Mercier.- Oui, madame, répondis-je franchement.- Mais pourquoi, demanda une autre voix que je reconnu comme celle de monsieur Merck.- Cela vient de ma petite enfance, monsieur. J’ai été élevée dans un orphelinat très strict. La moindre incartade nous valait brimade et punition. La fessée était courante et la mise au coin aussi. J’ai enfouis tout cela lors de mes études et mon travail. Mais tout est remonté à la surface lorsque j’ai perdu mon travail. Je me suis sentie inutile, comme ...