Alice
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
h,
fh,
frousses,
extracon,
voisins,
vidéox,
Masturbation
Oral
... vidéo ». Je m’exécute avec plaisir, introduisant ma queue gonflée à l’extrême dans sa petite chatte trempée par le jeu de rôle. La pénétration est profonde et lente. Centimètre par centimètre, je me cale au fond de son sexe. Le ballet de nos bassins fait le reste, presque sans bouger. Je jouis en silence, intensément, avec l’impression que mes tempes vont exploser. Lorsque je me retire, une quantité impressionnante de semence s’échappe de son vagin. C’est délicieusement obscène. Alice s’allonge sur le dos et se masturbe en me regardant avec un regard provocant. Ses doigts gluants de sperme malmènent son clitoris. Elle jouit les yeux clos, trois doigts profondément plantés dans la chatte. De confidence en confidence, je confesse aussi mon entreprise d’écriture. Il faut dire qu’entre-temps j’ai enfin terminé mon texte. Intitulé« Fixe-moi dans les yeux quand je jouis », ce qui n’est encore qu’on brouillon, met en scène un couple dont la femme s’ébat avec des hommes plus jeunes sous les yeux de son mari. Ce dernier, témoin passif, se contentant de tenir délicatement la main de son épouse pendant que de vigoureux amants l’entreprennent non moins vigoureusement. Le climax de chaque partie fine étant l’orgasme de la dame dont le couple profite en se fixant amoureusement dans les yeux. Alice insiste pour le lire et c’est un peu à reculons que je le lui envoie par email. — T’es gonflé d’avoir utilisé mon prénom et celui de Ludo quand même ! Entre ça et les détails sur le quartier et ...
... l’immeuble, on pourrait carrément croire que c’est moi l’auteure. Imagine que le mari de la concierge tombe là-dessus. J’aurais l’air malin en le croisant dans le hall.— T’inquiète, ce n’est qu’un brouillon dans mon ordi.— Ouais, mais quand même, t’es pas chié…— Tu es ma muse.— Mouais, c’est ça, flatte-moi. En effet, j’avais nourri mon récit de quelques détails réalistes assez précis pour que ça sonne vrai. Pour les prénoms du couple, j’avais conservé Ludovic et Alice. Ça faisait bien. Quand elle a fini de bouder, Alice me confie qu’elle avait aimé le texte. J’eus même la sensation qu’elle s’était branlée dessus. Elle le corrige, ajoute la touche de féminité qui manquait cruellement à mes fantasmes de mâle et m’encourage à le publier. La publication marque aussi la fin de notre aventure qui commençait à jouer un peu trop les prolongations. Nous sommes tous deux rassurés par ce retour à la normale. Plusieurs fois, j’avais dissimulé de longs cheveux roux, m’évitant de justesse un interrogatoire délicat. De son côté, je sais que Ludovic s’est aussi étonné de voir les culottes de sa douce revenir dans un sale état à la maison. Il faut dire que certains soirs, elles étaient à tordre… Bref, quelques jours plus tard, mon texte est validé par les correcteurs de Rêvebébé et mis en ligne. Je laisse une adresse mail : toujours l’orgueil de l’écrivain en herbe. J’avoue que j’attends avec un mélange de crainte et d’impatience le verdict des lecteurs. Il serait malhonnête de dire que je ...