1. Ma deuxième rencontre tarifée


    Datte: 23/07/2017, Catégories: fh, prost, Oral 69, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, champagne, journal, portrait, tarifé,

    ... aisselles, il me fait relever, relève ma jupe et baisse ma culotte, me saisit à la taille et m’assoit sur le bord du meuble du lavabo. Tout en se baissant, il finit d’enlever ma culotte, écarte alors en grand mes cuisses, jetant un regard gourmand sur ma chatte lisse, et y plonge la tête. Je penche mon torse en arrière, m’appuyant sur mes mains pour lui faciliter l’accès. Sa langue se glisse entre mes lèvres et remonte doucement à la recherche de mon clitoris. Sa langue remonte et joue avec mon bouton. Je pousse de petits soupirs, en faisant attention de ne pas les exagérer. Je finis de déboutonner mon chemisier, remonte mon top et me caresse les seins. Si je suis excitée, c’est uniquement mental. Le physique ne suit pas, exactement comme lors de ma première rencontre d’escort. J’ai les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Je me laisse faire, je me sens à la fois offerte et forte. Offerte parce que j’écarte les cuisses devant un homme que je ne connaissais pas il y a une demi-heure ; et forte parce j’aurais pu dire non, mais j’ai dit oui et je lui prends son argent. Il aura mon corps, mais rien de plus. Il salive de plus en plus, sa bouche ne ménage pas sa peine. Je sens un doigt s’introduire en moi. Je pousse un long soupir, et accélère mes halètements pour lui donner du cœur à ce qu’il fait. La réaction ne se fait pas attendre, il glisse un deuxième doigt dans mon intimité trempée de sa salive. Aussi incroyable que cela puisse me paraître, je ressens quelque chose, pas ...
    ... vraiment du plaisir, mais une sensation agréable. Je me contracte sur ses doigts en gémissant. Puis je lui chuchote : — Baise-moi. Il ne se le fait pas dire deux fois, se relève, ouvre un tiroir du meuble du lavabo, en sort un préservatif. Fébrilement, il en jette l’emballage par terre, et le déroule sur sa queue. Son gland est congestionné de désir. Tout en restant assise sur mon perchoir, je rapproche mes fesses du bord pour l’aider à me pénétrer. Il présente sa bite à l’entrée de mon intimité, je m’écarte grand en passant mes jambes autour de sa taille, un de mes escarpins tombe par terre quand il me pénètre d’un coup de reins conquérant. Je renverse ma tête en arrière en poussant un soupir rauque, alors qu’il commence à s’activer. Je m’agrippe à lui, lui murmurant qu’il m’excite, qu’il me baise bien. — Tu es une bonne pute, tu aimes te faire baiser, me répond-il. Je l’accompagne dans ses mouvements autant que ma position me le permet. Il change parfois de rythme, ne laissant que son gland en moi, pour repartir d’un grand coup, cherchant à aller au fond de mon ventre, pour ralentir à nouveau. Le rythme s’accélère, je contracte tout mon ventre sur sa queue, mes jambes le serrent, j’accroche de plus en plus fort mes mains à ses épaules. Son souffle se fait alors court, il pousse un long cri rauque, tout son corps se tend et, dans un ultime et violent coup de reins, me faisant reculer sous l’emprise, il gémit en disant : — Je te donne mon foutre ! Je sens ses spasmes de plaisir à ...
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