Ma deuxième rencontre tarifée
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
fh,
prost,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
champagne,
journal,
portrait,
tarifé,
... taille et me colle à lui. Sa bouche se pose sur mes lèvres, sa langue me chatouille le palais. Sous l’effet de la surprise, je me laisse faire, puis je pose une main sur son torse et une sur sa nuque et lui rends son baiser. Je ne sais combien de temps dure ce baiser. J’ai l’impression de jouer un rôle mais, au fond de moi, je sais que ce n’est pas un rôle, que je fais cela pour de l’argent. "Philippe" recule : — Vous embrassez divinement bien, m’affirme-t-il en sortant une enveloppe non cachetée d’une poche intérieure de sa veste. J’y jette un rapide coup d’œil – il semble y avoir le nombre de billets convenu – et l’enfourne au fond de mon sac, tandis qu’il jette sa veste sur une chaise et dit : — Je vais faire une petite toilette, venez m’aider. Je le suis à la salle de bains où il se déchausse, ôte chaussettes, chemise – dévoilant un torse quasi imberbe – et pantalon, puis se dirige devant le lavabo. Je comprends : j’enlève aussi ma veste que je pose sur le bord de la baignoire, remonte légèrement les manches de mon chemisier, je fais couler de l’eau tiède, puis je baisse son caleçon. Son sexe a commencé à grossir, mais il ne bande pas encore. Je fais mousser du savon dans mes mains et commence sa toilette. Je sens son corps se tendre au contact de mes mains. L’eau sur sa queue le refroidit un peu. Je m’applique, prenant soin de prendre mon temps, de bien le décalotter pour qu’il soit bien propre, puis je le rince. Je le regarde par en dessous, ses yeux tombent dans les ...
... miens, je le vois et l’entends prendre une profonde inspiration tandis qu’une de ses mains se pose sur ma nuque. Je sais ce que je dois faire. Je m’agenouille sans cesser de caresser son sexe qui se dresse ; le carrelage est froid à travers mes bas. Une fois installée, je le regarde à nouveau dans les yeux, darde ma langue et la fais remonter lentement, très lentement, depuis ses couilles jusqu’à son prépuce. Sa bite pointe vers le haut maintenant ; il a un sexe assez large, mais d’une longueur dans la norme. Je fais courir ma langue autour de son gland violacé, puis je vais titiller son méat. Je prends ses couilles à pleine main et le regarde à nouveau dans les yeux. — Tu suces bien, continue, me souffle-t-il à mi-voix. Il n’a pas le temps de finir que ma bouche le happe. Je salive autant que je peux, faisant virevolter ma langue sur son gland tout en le branlant lentement. Je fais descendre mes lèvres autant que possible sur sa queue tout en saisissant ses couilles et les malaxant ; ma bouche va-et-vient, descendant presque jusqu’à m’étouffer. Ses mains glissent sur mes épaules, je le sens déboutonner maladroitement mon chemisier puis glisser une main sous mon top. Il s’empare violemment de mon sein gauche, sa main se referme dessus pour le pétrir sans ménagement. Il relâche son emprise pour me maltraiter le mamelon, le pinçant pour le faire durcir. — À mon tour, dit-il autoritairement. Sa queue, luisante de salive, se retire de ma bouche. Ses mains m’empoignent sous les ...