1. Les fesses d'Eva L. - 2


    Datte: 23/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    D’accord, serveuse, ça ressemble fort à servante. Mais là, je suis sur un petit nuage. Il ne me manque qu’un beau jeune homme riche dans une belle voiture. Je vais apporter les chips, le perroquet (un pastis avec du sirop de menthe) et le ballon de rosé. Le patron me donne une ceinture avec une petite sacoche pour remettre la monnaie. Même avec cette sacoche à la taille, je me sens très nue. Je suis émue, pour ne pas dire humide… Bon, je me doute que le patron ne m’a pas engagée juste pour mes beaux yeux et mes belles fesses, il a sûrement des idées derrière la tête. Ce soir, je risque bien de passer à la casserole. Il ne me plaît pas, mais rien n’est parfait et puis il a l’air sympa. Alors, il y a un truc : la levrette ! Ni vu ni connu, je pourrai m’imaginer que c’est un riche play-boy qui me baise. Il est obligé de m’expliquer beaucoup de choses, mais il est gentil et puis ses clients sont contents, donc lui aussi. J’ai la chance d’être… un peu exhibitionniste. Ce que j’aime bien, c’est faire comme si je ne me rends pas compte de mon indécence. Par exemple, les manches de mon tee-shirt sont très larges et dans certains mouvements, on aperçoit mon opulente poitrine (!) ou alors, j’ai les jambes écartées et je ne me rends pas compte qu’on voit ma culotte... ou même davantage, si j’ai oublié d’en mettre une. Les clients aiment me voir aller et venir. Tout ce qu’une paire de fesses peut faire... Je remarque vite que les clients sont devenus maladroits ! Ils laissent par ...
    ... exemple tomber des cuillers et même des pièces de monnaie. Je me précipite pour ramasser, en ne pliant pas trop les jambes. Là, ils ont évidemment une vue panoramique sur la pleine lune, la mienne en l’occurrence. Et même, ils n’ont plus de doutes, je suis bien une fille. Mais quand ce sont des pièces qui sont tombées, elles sont évidemment pour moi. Le patron me dit : — Ici, c’est des potes, on s’amuse. Mais sur la terrasse, il y a surtout des touristes, ne leur montre pas trop ta chatte. Un peu rouge, je réponds : — Oui, Monsieur. — Et, puis, Éva… Il montre mon minou du doigt : — Il va falloir passer tout « ça » à la débroussailleuse. Je n’avais pas pensé à ça… J’aime bien les poils et j’ai tendance à avoir la chatte et même les aisselles… en friche. Les clients s’amusent, évidemment. Il y a en a qui me dit : — Tu vas te sentir toute nue sans ta fourrure. C’est vrai ! Un autre : — Alors, demain, on verra ta petite fente ? Le patron intervient : — Eh les gars, mollo ! Mais il s’amuse autant que les autres. Je lui dis : — Je vais devoir me raser ? — Non, t’épiler ou le faire avec une crème dépilatoire. Aïcha va s’en occuper. Tu partages sa chambre. Je lui dis : — Je pensais que les naturistes aimaient être nature. — C’est vrai, mais pas pour se faire servir à table. Ils vont avoir peur de retrouver un poil de chatte dans leur bouillabaisse. Logique. Deux clients s’en vont en me laissant de beaux pourboires, c’est cool. Le patron me dit : — Tu sais, la coutume veut que les serveurs ...
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