1. Les fesses d'Eva L. - 2


    Datte: 23/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et serveuses se partagent les pourboires. — Oui, bien sûr. Je vois arriver une belle fille nue. C’est Aïcha. Le patron lui dit : — Voici Éva qui remplace Odette. On s’embrasse — Bonjour Éva. — Bonjour Aïcha. Elle est plus grande que moi avec de plus gros seins, naturellement, et son pubis est aussi lisse qu’un savon mouillé. De son côté, elle m’examine et dit : — Tu es mignonne, mais… Elle a les yeux sur mon pubis, puis elle regarde le patron. Il lui demande : — Tu t’en charges ? — Oui, viens avec moi. On monte jusqu’à une petite chambre. Il y a un lit moyen et un lavabo. Pas d’armoire. Elle me dit : — Montre-moi tes aisselles. Je lève les bras bien haut et croise les poignets. Très symbolique comme position, pour moi. Elle me met de la crème avec une spatule. Elle me dit : — Il faut que ça pose. On va faire ta chatte en attendant. Elle met un essuie de toilette sur le lit. Je me couche, les jambes bien écartées. Elle regarde et s’exclame : — Quelle touffe ! Tu vas voir, ce sera hyper sensible une fois épilé. Quelque chose te frôle, tu jouis ! Je la regarde avec des grands yeux. Elle dit : — C’est une image. Mais faire l’amour quand on vient de se faire épiler, c’est une expérience à faire. Elle me met plein de crème. Ouch ! C’est que, même avec des poils, je suis hyper sensible. Là aussi, ça doit poser 5 minutes. Je lève mes bras à nouveau et elle enlève la crème et les poils avec une spatule. Adieu, mes beaux poils ! Ensuite le minou. Elle enlève la crème sur le pubis, ...
    ... puis ceux qui s’égaraient un peu à l’intérieur des cuisses. Ensuite, elle me prend par les grandes lèvres. Je fais : — Oooohhh ! — Tu es très sensible… — Ben oui… à cet endroit-là… Elle tire bien dessus pour enlever toute la crème, je mords sur ma lèvre. — Tu es vraiment très sensible… — Pardon… — Faut pas t’excuser, c’est bien d’avoir le sang chaud. Comme je me tortille un peu, elle ajoute : — Même très, très chaud ! Après avoir tout enlevé, elle me rince avec un gant de toilette. Sans poils, c’est vrai que… c’est trop ! Elle se rend compte que je suis de plus en plus excitée. Elle rigole, puis met le gant de toilette sous l’eau froide en disant : — C’est mieux comme ça, hein. — Oui, pardon, mais c’est tellement… sensible… Elle donne une petite tape sur ma chatte en annonçant : — Et voilà, toute propre. Je monte sur une chaise pour me regarder dans le petit miroir. — Oh ! C’est indécent. J’ai autant de poils qu’à 5 ans. Comme je suis mince, on voit le début de mes lèvres et j’ai même l’impression qu’on aperçoit le léger renflement du clitoris. — C’est vraiment gentil de le faire. Dis, le patron a l’air sympa… est ce qu’il faut… passer à la casserole ? Elle hausse les épaules, puis m’explique : — Tu sais ce que c’est. Mais il n’est pas exigeant. Tous les jours, l’une de nous lui taille une pipe. Il appelle ça le droit de cuissage, même si ça n’a pas beaucoup de rapport avec nos cuisses. En contrepartie, moi qui ne suis pas tout à fait en règle, il arrange ça. Tu sais, les ...
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