Les fesses d'Eva L. - 2
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... temps en temps aux toilettes, je sens qu’on va bien se plaire ici, ma chatte et moi. Mademoiselle Chris Vers le soir, je fais la connaissance de la belle-fille de Bruno. Aïcha me dit : — C’est elle, la patronne. Elle s’appelle Chris, mais on dit « Mademoiselle » ou « patronne ». Pour le moment, elle est à l’entrée pour accueillir les clients. Elle est blonde, mais certainement décolorée. Elle doit avoir mon âge et elle est jolie. Et bien sûr, totalement dénudée. Mes yeux descendent aussitôt vers son pubis. Je suis sûre qu’elle a une chatte bien noire, quand elle n’est pas toilettée. Je lui dis sur un ton très poli : — Bonsoir Mademoiselle, je m’appelle Éva, votre beau-père m’a engagée et… Elle me regarde bien dans les yeux et termine ma phrase : — Et tu n’as aucune d’expérience… Alors, pour compenser, tu montres complaisamment ta chatte aux clients. Son ton est très ferme. Bien sûr, je deviens toute rouge, et je baisse même les yeux en bredouillant : — Euh… c’est la première fois que… mais je vais… — Du moment que les clients et mon père sont contents, tu peux même servir à quatre pattes pour moi. Sous son regard, je me retrouve dans le harem. Elle remarque mon trouble. Cette fille a même l’air de trouver ça très amusant. Oui, mais je suis nue, même plus que nue, puisque je n’ai plus un poil sur le minou, devant une femme également nue, qui a le regard et le ton qui me touchent. Ici, entre les cuisses. Oui, là où c’est devenu aussi lisse que sensible. A-t-elle compris ce ...
... qui se passe ? Assurément, puisqu’elle me dit : — Tu fais bien tout ce qu’on te dit ? — Oui, Mademoiselle. — C’est parfait, j’aime bien les filles obéissantes. Voilà, voilà… Dur de jouer à être une guerrière quand, à l’intérieur, on est une esclave. Nue, en plus ! Elle m’annonce : — Aïcha va t’expliquer ce que tu dois faire. Elle regarde mon bas-ventre et dit : — C’est elle qui t’a épilée ? — Oui, Mademoiselle. Elle pose le dos de sa main sur mon pubis : — C’est très sensible au début, hein ? J’en perds presque la voix ! Je finis par bredouiller, — Oh… euh… oui, très, très… — Une seule solution, au début : aller se masturber aux toilettes. Je prends une teinte de rouge supplémentaire. Elle sait ? Sa main quitte mon pubis, parce que des clients arrivent. Je peux bouger. Aïcha a assisté à la scène. Elle me dit : — Elle t’a mise mal à l’aise ? — Ben, quand même, sa main qui restait à cet endroit-là... — T’es trop sensible. Viens, je vais te présenter aux autres. Il y a deux serveuses de plus pour le restaurant, dont Helena, une fille de l’Est. Elle est occupée à placer des corbeilles de pain sur les tables. Suzy, qui est de Béziers est en congé aujourd’hui. Helena et moi, on s’embrasse. Elle me dit : — Ravie que tu sois là. Elle a un accent russe et l’air sympa. Je ne peux pas m’empêcher de regarder son pubis pour voir si ses grandes lèvres sont aussi apparentes que chez moi. Elle rit et me dit : — Au début, on fait toutes ça. Les clients du restaurant arrivent. Aïcha me donne un ...